Il avait vraiment besoin d’un petit roupillon, ensuite il serait frais et dispo pour s’attaquer au travail. Une sieste, comme en Espagne. Là-bas, ils en avaient compris l’utilité, alors qu’ici en Suède, on devait subir ses huit heures de boulot quotidiennes, dans la bonne humeur et avec une pêche d’enfer permanente.