On a su dès la première heure que les fourgons de l'impérial Corse étaient prets à détaler, malles bouclées, au moindre commandement, la défaite ayant été prévue soit comme une éventualité soit comme une nécessité de la politique.
L'histoire entrera plus tard dans le détail de cette grande lacheté qui souille à jamais les trones.