Les coïncidences sont tantôt un défi pour le rationaliste, tantôt du charbon pour le spirituel ou encore un signe pour le superstitieux. Elles peuvent être aussi un matériau pour le récitant, car les plaisirs de l’improbable, s’ils peuvent être goûtés, n’ont pas à être sondés. Les fruits du hasard, on peut se contenter de les cueillir et les croquer.