Citations de Carolyn Jewel (22)
A ses yeux, il était beau. Un homme qui essayait de voir le monde comme il était, un homme qui gardait toujours espoir.
Cet œil l’aurait fait trembler. Parce qu’en vérité, il avait passé davantage de temps avec ses maîtresses qu’avec ses livres d’étude.
Trop de jeunes gens de nos jours passent des heures devant leur miroir au lieu de cultiver leur esprit.
Vos yeux brillent d'intelligence, et la vivacité de votre esprit transparaît dans chacune de vos expressions. Une femme intelligente et sûre d'elle ne peut qu'attirer un homme avisé.
Les hommes, sont des créatures malhonnêtes qui exigent la fidélité de la part de leurs épouses alors qu'ils entretiennent discrètement une maîtresse ou enchaînent les liaisons.
Ses yeux n’étaient pas vraiment marron, mais ce qu’un homme avec un sens de la poésie aurait pu appeler miel sombre. Depuis la ligne de sa bouche à la courbe majestueuse de sa gorge et de ses épaules en passant par la forme harmonieuse de ses yeux et de leurs cils épais, elle était le genre de femme qui évoquait immédiatement pour un homme les alcôves et les murmures amoureux.
Elle n’était pas belle, non, ce n’était pas cela. Elle était jolie. Et possédait un charme infini.
Elle ne correspondait pas aux canons de la beauté et pourtant, le premier mot qui venait à l’esprit en la regardant était « séduisante ».
Dans la bonne société, c'est toujours un scandale quand des époux ne cachent pas qu'ils s'aiment. Cela ne se fait pas, tout simplement.
Pour que l'histoire soit crédible, il faut qu'elle contienne des éléments véridiques.
La passion ne dure pas. Elle se consume, c'est inévitable. Mieux vaut que cela se termine ainsi, avec des souvenirs tendres plutôt que des accusations douloureuses.
Ils n'étaient qu'un homme et une femme brûlants de désir et qui cherchaient l'assouvissement par tous les moyens.
Une armée se bat mieux l'estomac plein. Et encore mieux avec de l'argent dans les poches.
Et pour une femme amoureuse, la fidélité est dans l'air qu'elle respire. Ce n'est pas un plat qu'elle choisit, un jour ceci, un autre jour cela, parce qu'elle se lasse du menu.
Le mariage est un serment que l'on fait devant Dieu et devant soi-même.
Vous ne trouverez ni vers, ni sentiments élevés, ni rhétorique grecque ou romaine. J'écris pour m'amuser avec des vies que je ne vivrai jamais.
Ce que les femmes souhaitent et la réalité qu'elles affrontent sont deux choses très éloignées.
Quelle femme peut oublier que la vie de ceux qu'elle aime est en jeu ?
Les mots l'avaient aidée à vivre. Au sens propre puisque, ruinée par son mari, elle s'était tournée vers la seule chose qu'elle savait faire : écrire.
C'est une femme faite, pas une jeune fille. Elle est capable de prendre ses propres décisions.
Les commérages sont inévitables lorsqu'un homme comme moi fait savoir qu'il cherche à se marier.