Citations de Carrie Vaughn (15)
- Alors, tu n'es pas vraiment un loup-garou.
- Pas encore. Mais je suis destiné à le devenir, je le sais. Comment me faire attaquer par un loup-garou ?
- Tu vas te balader dans une forêt une nuit de pleine lune avec un morceau de bidoche collé sur la figure et une pancarte où tu auras marqué : « Bouffez-moi, je suis un con. »
Et je crois bien qu'il est là, le cœur du problème ; même si les lycanthropes et les vampires ne sont techniquement pas pleinement humains, ils l'ont été un jour et ne peuvent l'oublier. Ou plus précisément ils ne devraient pas l'oublier. C'est quand ils oublient ça que les ennuis commencent.
Je me suis imaginée dans la peau d'un auditeur appelant mon émission : "Ouais, salut. Je suis un loup-garou, et je suis coincée dans un chalet au milieu de la forêt avec un autre loup-garou et un chasseur de loup-garous."
Malheureusement, je n'étais pas du genre à faire marche arrière. J'avais lu une phrase de Churchill, un jour, qui disait en substance : Si vous passez par l'enfer, continuez d'avancer.
" Je l'entendais d'ici: " Avez-vous déjà dévoré des petits enfants, Miss Norville?"
Des oeufs pour mon petit déjeuner, ça compte?"
Ouah. Carl et Arturo étaient d'accord sur quelque chose. C'était un jour à marquer d'une pierre blanche dans la diplomatie du surnaturel.
Je suis persuadée que d'une façon ou d'une autre tout être vivant, qu'il soit humain, vampire ou autre, a le même choix à faire : se laisser envahir par la colère pour ce qui lui arrive, ou bien l'accepter et s'efforcer de mener l'existence la plus honorable possible malgré ce qui lui tombe dessus. Est-ce que tu crois en un Dieu compréhensif et miséricordieux ou pas ? En fait, c'est une histoire entre toi et Dieu et tu devras trouver la réponse à cette question tout seul.
« C'est Kitty qui vous parle sur K-NOB. Il est minuit, c'est l'heure du crime et je m'ennuie. Je vais donc vous saouler de blabla jusqu'à ce qu'un auditeur appelle. »
My eyes widened. This hadn't been on his blog: he'd saved it for the show. Awesome. "The Beatles were fairies?"
Ils partent en chasse et Elle lui montre qu'il est Dieu en attendant sa permission pour avoir sa part du lapin qu'ils ont tué. Il lui laisse la peau à sucer et les os à ranger, mais Elle est heureuse.
J'aurais dû lui raccrocher au nez, mais les appels un peu tordus m'intriguaient toujours.
- Cormac? De quoi est-ce que tu parles exactement?
- Je suis un tueur à gages, spécialisé dans les lycanthropes.
Sa voix a grésillé et s'est affaiblie un instant.
- Tu appelles d'un portable?
- Ouais. Je suis dans le hall de la station, je suis venu te tuer.
Le monde qu'il avait évoqué — les vampires, les loups-garous, tous ces trucs à vous glacer les sangs - était un monde secret, même pour ceux qui en avaient trouvé les portes sans le vouloir. Les gens tombaient dedans par hasard, et c'était marche ou crève. Crève, le plus souvent. Et une fois qu'on avait basculé, on n'en parlait surtout pas à ceux de l'extérieur, parce que... ben... qui nous croirait, hein ?
- Vous êtes une sacrée chieuse, vous savez ça ?
- Je ne le fais pas exprès.
Les ennuis que je semblais attirer comme un aimant étaient presque toujours le résultat direct de mon impulsivité. Parler sans réfléchir. Exemple : une personne rationnelle et normalement constituée ferait de son mieux pour ne pas énerver un type comme Bradley. Pas moi.
C'était le crépuscule, la lune ne s'était pas encore levée, mais je sentais déjà sa caresse argentée, maitresse des marrées et de mon coeur.
"Physiquement, il s'en sortira. Ses blessures sont déjà en train de cicatriser. Mentalement... ça dépendra de lui. Il faut attendre son réveil pour savoir s'il sombrera dans la folie ou s'il gardera sa raison".