« Le verbe arabe, imagé, précis, poétique et cru donnait à la grand - place de Bagdad , l’espace de chaque soir, une vie nouvelle où tout pouvait survenir.
Le vent et les pluies avaient usé les remparts et usé le palais, l’argile se fissurait , laissant passer les vents de l’est et de l’ouest ; et du Palais d’OR d’Haroun, ne restaient que de grands murs de marbre blanc enserrant le silence et l’oubli.... »