J'ai passé mon week-end à tenter de comprendre ces phénomènes. Au petit matin du samedi, le parfum fleuri avait totalement disparu, et Freddy avait retrouvé son comportement habituel. Pourtant, les portes de l'armoire étaient restées ouvertes comme pour me prouver que je n'avais pas rêvé. A force de chercher, j'avais finalement trouvé des explications qui me rassuraient, sans parvenir à être complètement convaincantes. L'odeur avait dû imprégner mes vêtements lorsque j'avais ouvert la porte de la loge 10, et Freddy avait eu peur du rideau secoué par le vent. Ni l'une ni l'autre ne tenaient la route, ma raison le savait parfaitement, et j'occultais volontairement le fait que je n'avais pas senti le parfum sur mes habits en quittant le Fairhall.