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Citations de Catherine Kalengula (106)


- Tu as un copain ?
- Non. Si toi tu crois au petit chaperon rouge, moi je crois pas du tout au prince charmant.
- Ah bon ? Toutes les filles n'en rêvent-elles pas ?
- Quand elles sont petites, sans doute. Mais, même dans les contes de fées, les princes soi-disant charmants sont en réalité de gros mufles.
- Tu vas un peu loin là, non ?
- Ecoute. Comment appelles-tu un mec qui embrasse une fille alors qu'elle est plongée dans un profond sommeil à cause d'un sortilège et qu'elle n'a donc pas la possibilité de donner son avis ?
- Tu as raison. Les princes charmants sont d'horribles salopards. Mais le baiser n'est-il pas justement le remède qui permet de réveiller la belle et douce princesse ?
- Un odieux stratagème, oui !
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J'ai arrêté le lycée et je vis chez ma grand-mère...Alors, tu me trouves toujours aussi sexy?
- De plus en plus. J'adore le genre petit chaperon rouge. ça me donne envie d'être un grand méchant loup.
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Si l'amour ça pique, ça gratte, ça trifouille, ça tord, et pour finir ça casse complètement, où est l'intérêt? En réalité, on devrait avertir les ados : tomber in love signifie être maso ! J'ai beau savoir que je ne verrai plus Anthony et qu'il n'en a rien à foutre de moi, je garde toujours son écharpe sous mon oreiller. Autre remarque sur l'état amoureux : l'amour est un virus hyper actif, qui infiltre les neurones et bousille complètement le cerveau.
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Tu penses vraiment qu'on peut comparer deux douleurs entre elles ? Chaque blessure est intime, personnelle.
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Ma mère disait que face aux malheurs, il y a deux options : soit on coule à pic, soit on se forge une armure.
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Il y a mille façons de dire je t'aime.
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Un soir, je me suis couchée et j’avais tout. Quand je me suis réveillée, quelques heures plus tard, je n’avais plus rien. [...] J’ai l’impression que le sol se dérobe sous mes pieds. Je refuse de rendre les armes. Si je ne me bats pas maintenant, si je cède, bientôt j’aurai si peur du monde extérieur que je ne pourrai plus quitter ma chambre.
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Il y a des douleurs que les mots sont incapables d'exprimer. Peut-être tout simplement parce que ces mots n'ont pas encore été inventés.
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Il aimerait bien lui clouer le bec. Pourquoi est-ce que les gens heureux se croient toujours obligés d'étaler leur bonheur au grand jour ? Qu'est-ce qui les pousse ? Le plaisir sadique de mettre les autres encore plus minables qu'ils ne le sont déjà ?
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Comment est-ce que j'ai pu être aussi lamentable ? Eh bien voilà, Savannah, tu as eu ta chance et tu l'as loupée. Ta vie est finie, fichue, à jeter aux orties. Tu vas te retrouver à servir des hamburgers pour le restant de tes jours, vêtue d'un épouvantable uniforme rouge et blanc. Et, ce coup-ci, ton manager t'accrochera une casquette de force avec de la super glu, si bien que tu seras obligée de dormir avec. Rien que d'y penser, je tombe dans un trou plus profond que le derrière d'un éléphant.
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En participant à la première énigme, elle a pris confiance en elle, notamment grâce aux encouragements du garçon. Il lui a fait comprendre qu'elle pouvait être une bonne enquêtrice.
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Et soudain, je le vois. Lui. The Karl. Il est là, devant moi. Comme une apparition divine. Il se dresse, sublimement classe, devant la grosse dame. Il ne se rend même pas compte que je le regarde comme s'il était Jésus en personne. Il est là, le cou étriqué dans l'un de ses éternels hauts cols blancs. Souvent, en l'observant à la télé, je me suis demandé comment il pouvait respirer, le kiki serré comme ça. Mais, à cet instant, je dois me rendre à l'évidence : Karl ne respire pas, il crée.
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- Qu'importe si on te déshabille des yeux, du moment que je suis le seul à pouvoir le faire avec les mains, répond Shane, l'air sérieux.
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― C'est fou, sur tes dessins, on dirait vraiment que je suis belle.
― Tu n'es pas seulement belle. Tu es faite pour moi.
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Je ne dois pas craquer. Me mettre à hurler en tambourinant sur les portes désespérement fermées. Ou pire, m'écrouler sur la moquette et fondre en larmes. parce que je ne suis pas seule, et je ne veux surtout pas qu'il me prenne pour une folle.
Je m'intime de respirer. Ce n'est rien. Juste une petite panne. ne panique pas. L'ascenseur ne vas pas tarder à redémarrer et tu pourras t'en aller.
Les interrupteurs, comme la lumière, sont éteints, il doit s'agir d'une coupure d'électricité. Sans un mot, le jeune homme sort un smartphone de la poche de son blouson en cuir noir, active une application lampe-torche, puis le dépose sur le sol, devant nos pieds.
Respire, calme-toi.
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_ La tu es en train de sourire dans le vide.
La voix du jeune homme me fais sursauter et je rouvre les yeux
Enfouie dans mes pensées, j'ai perdu conscience de l'époque, du lieu présent, et, durant un merveilleux moment, je me suis retrouvée treize ans en arrière à Paris, près de mon colosse de père.
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Avec des si, on referait le monde. On referait sa vie. Et j'en ai marre des regrets inutiles.
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De toute façon, quand on souffre, on est tout seul dans son âme.
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Tu désires beaucoup de choses, mais tu ne te donnes jamais a fond pour les obtenir.
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Pont des Arts, Paris, un samedi soir…

— Mais qu’est-ce que vous faites ? me demanda un agent de sécurité, accompagné d’un berger allemand.

Qu’est-ce que je faisais ? Quelle question pertinente ! Il était 2 heures du matin, et je me tenais accroupie face au parapet grillagé du pont, le front en sueur, une pince coupante à la main. J’avais opté pour la plus grosse du magasin, pensant naïvement qu’elle cisaillerait en moins de deux un cadenas ridicule en forme de cœur. Pourtant, après dix minutes de dur labeur, j’étais à peine parvenue à obtenir une entaille digne de ce nom. Avoir fait la queue pendant une demi-heure à la caisse d’une grande surface de bricolage n’avait vraiment servi à rien.

Je m’étais fait avoir. Encore une fois…

Un an auparavant, j’étais tombée amoureuse d’un connard, celui que je n’aurais jamais dû choisir : Benjamin ! Beau, sexy, drôle, attentionné… Dit comme ça, il avait l’air parfait, sauf que ce samedi-là, il dansait dans les bras d’une autre.
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