Il adorait penser le monde et pouvait tenir de longs discours à ses frères ou à ses copains illettrés sur l’avenir géopolitique de la planète. Néanmoins, toutes ses pensées aboutissaient à une conclusion éclairée et pessimiste sur le sort de l’humanité : les riches continueraient à s’enrichir et les pauvres à s’appauvrir. Il n’y avait rien à faire devant l’inévitable.
(Héliotrope, p. 102)