Vladivostok, c'est six cent mille voitures japonaises avec le volant à droite et qui roulent à droite. Vladivostok, c'est un réseau de rue qui montent ou qui descendent et qui tournent; Quand il y a de la neige, on ne sait plus qu'en faire, on l'amasse sur les côtés, on réduit d'autant la chaussée. Sur le haut des collines, la glace transforme tout en patinoire et le rythme des accidents est aussi régulier qu'une fanfare.