Mlle de Sévigné figurait, dès 1663, dans les brillants ballets de Versailles, et le poète officiel, qui tenait alors à la cour la place que Racine et Boileau prirent à partir de 1672, Benserade, fit plus d'un madrigal en l'honneur de cette bergère et de cette nymphe qu'une mère idolâtre appelait la plus jolie fille de France.