La plupart des hommes sont ainsi faits qu'ils ne peuvent s'intéresser qu'à l'immédiat et au détail ; ils aiment à se laisser tromper. Peu lèvent les yeux jusqu'au ciel, peu le comprennent. Peu savent même qu'il existe, et là-haut le grand mécanisme, l'astre plus ou moins approche, l'astre se rapprochant toujours.
(page 29, chapitre 11 - Tome 2 Editions de la Pléiade)