Le plus grave est que la lâcheté et l’inutilité de « l’embusqué » se doublent d’une absence totale de compassion à l’égard de ceux qui souffrent et combattent. Bien au contraire, il fréquente les lieux de plaisir, bars, terrasses ou cinémas. En outre, il ne semble reconnaître aucune préséance ou supériorité morale au poilu qui le défend.