Hendrix est un point de départ commode aux généralités abusives : phallocratie innée du hard rock, diabolisation des drogues et manie réactionnaire du solo de guitare interminable ; ou encore aux prêchi-prêcha sur le pouvoir destructeur de la célébrité, la futilité naïve de l'idéalisme hippie, et la calamité de voir mourir jeunes tous ces gens si doués.