- Tes parents sont vivants quelque part. Ils t’attendent. Tu es le seul d’entre nous qui peut se dire ça, Charly.
- Puisse.
- Ta langue n’a aucun sens.
Pendant une seconde, je crois l’entendre rire tout bas. J’ai dû rêver. Il serre ma main une dernière fois, puis me lâche. Je glisse la mienne sous mon oreiller.
- Dono bad, Kiran.
C’est mon tour de rire sous cape.
- Dhon-no-baad, je corrige. De rien, mon ami.