Christian Becquet

Au tribunal correctionnel de Rouen, Harry Delarizière, consultant en économie, se retrouve sur le banc des accusés en raison de diverses malversations financières. Dans la salle d'audience, quelques femmes et quatre de ses amis, Auguste, le journaliste, Julien le médecin, Gaston, l'artiste marginal et bricoleur et Marcel, le prof d'histoire-géo, assistent avec anxiété à ce procès qui se veut exemplaire. Au fil des témoignages, le passé des cinq protagonistes remonte à la surface. L'amitié de ces quinquagénaires ne date pas d'hier, mais du temps de leur classe de prépa au cours de laquelle ils avaient scellé un magnifique pacte d'amitié puis de celui de l'acquisition d'une ferme perdue dans le Forez qu'ils retapèrent ensemble... Mais comment le si brillant et si séduisant Harry a-t-il pu se retrouver aussi sottement pris dans les griffes de Dame Justice ?

« Les condisciples du Pentagone » est un livre dont le fil conducteur est l'histoire d'une amitié juvénile qui reste constante à travers les vicissitudes et les aléas de la vie et qui résiste à tous les assauts et toutes les intrigues de la gent féminine, perverse par définition. Quels formidables copains que ces cinq hommes ! Au détour de certaines scènes, le lecteur fera le rapprochement avec « Les Copains » de Jules Romains à ceci près que les Condisciples se déplacent en Saab ou en Hiace quand les Copains n'allaient qu'à bicyclette et que le rayon d'action des premiers s'étendait d'Ambert à Issoire alors que pour les héros de Christian Becquet, c'est à peine si le monde est assez grand. Mais autant les personnages masculins sont intéressants, bien campés, un tantinet stéréotypés autant leurs homologues féminins paraissent inconsistants, à peine esquissés, voire ectoplasmiques, ce qui est un peu dommage mais peut passer pour un parti pris de maintien en lumière des cinq « héros ».
Lien : http://www.etpourquoidonc.fr/

Lu car se passe à Rouen. J'ai éprouvé du plaisir bien sûr à retrouver des lieux connus mais l'intrigue m'a parue trop facile, le récit est truffé d'expressions convenues. Je n'ai pas ressenti de suspens et me suis un peu ennuyée. L'auteur a le mérite d'exister mais je ne comprend spas l'éditeur...

🌻Un autre big virus, internet brisé, une femme à l’Elysée….🌻



Christian Becquet m’a proposé ce livre en service presse, et je l'en remercie.

Dès que j’ai lu la4è de couverture, j’ai été séduite par l’histoire proposée : Imaginez une panne d’électricité géante un soir d’élection présidentielle, après avoir affronté pendant plus de 2 ans la crise sanitaire due au covid...plus d’électricité, plus de réseau internet, plus de radios, plus de télévision.



Avant de commencer ma lecture, je me suis imaginé ce que ça donnerait, concrètement, si aujourd’hui ça arrivait dans nos vies. Vous êtes vous déjà posé la question ? Nous qui sommes si dépendants ?



Nous voici donc à découvrir cette panne à l’Elysée, dans une banque, au collège, dans les administrations, bref, partout en France ....nous voilà spectateur de ce triste spectacle….



Jour après jour, nous assistons à cette vie qui se met en place sans ce sacro saint Dieu Internet.

Nous assistons aussi à la recherche du virus et qui en est à l’origine. Et l’on se surprend à envisager l’après et ce qui aura changé après cette grande panne du net…



Cette lecture a été plaisante. Une lecture dans un style que je n’ai pas l’habitude de lire, puisqu’ici pas de romance, pas de belle histoire, ni de développement personnel, mais un livre intéressant, qui nous rappelle à quel point nous sommes dépendants.

Christian n’a rien oublié : En passant par la centrale électrique, les grandes enseignes, les retraités qui préparent leur croisière, les jeunes qui ne peuvent pas vivre sans Facebook, les voitures électriques, sans oublier les geeks…. Il a pensé à tout ! Même au retour du minitel (rose 😅)



Si cela venait à arriver, nous serions bien en peine. Comment ferions-nous pour vivre sans nos smartphones ? Comment parler de nos coups de cœur livresques sans instagram ? Comment vivre sans informations et sans les réseaux de communication aujourd’hui à notre portée ?



Je conseille ce livre à ceux qui sont un peu nostalgique d’un temps révolu, à ceux qui aiment parfois se déconnecter, et aux hypers connectés, accros des écrans…Ce fût une belle découverte avec une idée de thème bien trouvé.

Après les années pandémie, la COP 26, le dérèglement climatique et l'annulation des élections 2022... La France commence à retrouver un peu de sérénité.

Nous sommes en 2023, un dimanche soir, le jour des élections du Président de la République. Pendant le dépouillement, une panne survient et au fil des minutes elle plonge la France dans le noir. Mais plus grave encore, Internet disparait pour des heures, puis des jours et même des mois...

La panique est générale chez les hommes politiques, la vie sociale est bouleversée, l’économie vacille, les jeunes sans leurs réseaux entrent en dépression, les services secrets prennent l'avion pour une ile déserte...

Mais par ailleurs, la bonne nouvelle, c’est que la vie devient moins trépignante, plus douce, plus cool...

Et puis... Une femme politique se met à rêver de l'Elysée et se dresse !
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C'est une fraction de l'histoire du Liban oubliée ou méconnue !

Celle de la magnifique idée de Rafic Hariri qui a consisté, entre 1983/90, alors que la guerre civile perdurait dans tout le pays, à sauver une génération de jeunes gens aux têtes bien faites, en leur proposant de les aider à faire ou poursuivre leurs études à l'étranger à travers la Fondation Hariri.

La subtilité et l'ouverture de l'homme politique fut de n'exclure aucun milieu social, ni même de confessions religieuses.

Le livre raconte en particulier la transplantation et l'expérience étonnante de ces étudiants de vingt ans, vers la France, l'Europe, les USA, le Canada et les pays arabes.

La dernière partie du livre raconte et explique le chemin vers la double nationalité franco-libanaise et le développement extraordinaire de la diaspora du Pays des Cèdres.

Un regard sociologique est posé sur les millions de libanais expatriés.

Le livre rappelle aussi les relations historiques et amicales France-Liban.

Christian Becquet, m'a gentiment envoyé son livre pour que je puisse lui donner mon avis;

L'histoire tourne autour d'un procès et d'une amitié sans faille. Au départ, j'ai eu un peu peur car je pensais que tout aller tourner autour de son procès, que tout allait se passer en huis-clos. Mais je dois bien avouer que j'ai un peu oublier le procès au fil des aventures du comité de relecture mais je trouve que vous avez su nous ramener dans le "présent" très finement.

Mon avis général, j'ai aimé le livre. J'ai aimé l'humour, les différents clins d’œil.Je me suis accrochée aux personnages au fil des pages et j'ai même failli pleurer à certains moments.J'ai aussi aimé la fin du livre, où l'on peut bien voir que pour les Pentagonais, l'amitié c'est sacré.

Christian Becquet est l'auteur de 5 romans, dont le dernier en date (Les condisciples du Pentagone) cherche un éditeur.

Ça tangue sur l'île Ste Marie débute comme un récit de voyage. Le narrateur(qui a me rappelle une peu l'auteur) nous peint les divers paysages qu'il traverse avec son amie Coco et nous donne son ressentit sur le pays, sur la vie locale, sur ce qu'il voit. Peu à peu, Chris alis Oukala, est embarqué malgré lui dans une intrigue policière.

Je vais débuter, ici, par les points négatifs. Les points négatifs sont la partie géo qui constitue un chapitre du roman et le fait que je trouve que le dénouement de l'intrigue arrive un peu comme un cheveux sur la soupe. Malgré ces deux petits points, j'ai trouvé l'histoire sympathique, les personnages intéressants. Les nombreuses descriptions, des paysages, m'ont donné envie de découvrir un jour Madagascar.