Il en est des passions humaines comme des sortilèges des sorciers africains : au début, on est envoûté, puis on entre en transes et l’on s’agite dans un délicieux délire, puis vient le temps de la lévitation et enfin, quand sonne l’heure du réveil, on se sent stupide, comme groggy, alors on réalise la supercherie et l'on renâcle au bonheur.