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Critiques de Christian Maucler (24)
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Les enquêtes du commissaire Raffini, tome 11 ..

Ici Londres… à vous Charlie !



Mercredi matin dernier, enthousiaste à l’idée de découvrir une BD, je me suis plongé dans l’album « L'Inconnue de Tower Bridge” qui m’a été gracieusement offert par Babélio et les éditions Tartamudo.



En rentrant le soir, je terminais l’album hagard en décelant une « drôle » de coïncidence dans le fait d’explorer les dessins d'une bande-dessinée (ce qui m’arrive rarement depuis un an) le jour du meurtre de dessinateurs de Charlie Hebdo.



Seuls les personnages des livres, comme l’inconnue découverte au pied de Tower Bridge, sont sensés mourir et entraîner une enquête. Jamais les dessinateurs, quoi qu’ils aient pu crayonner ou caricaturer, ne doivent tomber sous les balles de personnages sortis d’un monde irréel.



Après de tels faits, la critique d’une BD semble dérisoire d’autant plus que le lendemain une policière tombait à quelques centaines de mètres de la bouche de métro que je m’apprêtai à emprunter. "Attention, une fusillade a éclaté vers Malakoff !" lâche un automobiliste avant que je me précipite vers l'entrée du métro.



Néanmoins, afin de respecter Babélio, je donnerai tout de même mon impression sur cet album écrit par Rodolphe et joliment dessiné par Maucler.



Globalement, la lecture est très agréable grâce notamment au superbe coup de crayon de Maucler qui réussit à dessiner des personnages extrêmement expressifs comme s’ils étaient vivants par moment.



En outre, Maucler met particulièrement en valeur la séduction féminine sous toutes ses coutures bien que l’enquête soit essentiellement masculine et très sérieusement menée par le commissaire Raffini, dépêché spécialement à Londres pour le meurtre de cette inconnue… française.



Sur le contenu, l’histoire et l’enquête sur ce meurtre m’a laissé un peu sur ma faim, espérant un peu plus de profondeur, d’épaisseur et surtout de longueur.



Bref, manifestement, après une très longue analyse qui ne laisse aucune place au doute, j’ai un véritable problème en « eur » avec cet album !



Pour aller plus loin, j’ai même eu l’impression, peut-être à tort, que l’éditeur a voulu combler ce final un peu trop rapide en complétant l'album avec l’histoire du « vrai » commissaire Raffini qui a inspiré les co-auteurs de la bande-dessinée.



Pour conclure, loin d’avoir découvert cet album dans des conditions optimales, contexte oblige, je jetterai plutôt des fleurs au dessinateur et je voudrais en profiter au passage pour rendre hommage à Cabu et aux autres artistes de Charlie Hedbo, morts pour avoir usé (et peut-être abusé) de leur simple plume ou de leur crayon.



Je suis Charlie, vous êtes Charlie, nous sommes Charlie…

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Les enquêtes du commissaire Raffini, tome 11 ..

On a retrouvé le corps noyé d’une femme contre un des piliers de Tower Bridge.



Les deux hommes en croient pas à un suicide puisque les suicidés n’ont jamais l’idée de s’enrouler dans un sac qu’ils ficèleraient après.



Comme la victime est française, on envoie un enquêteur français, of course et c’est le commissaire Raffini qui s’y colle.



Mes premières impressions n’ont pas été les meilleures à cause des couleurs de l’album qui ont tendance à faire mal aux yeux. Elles sont criardes, dans des tons rougeâtres et ne mettaient pas les dessins en valeur du tout.



Heureusement que les bâtiments de Londres sont bien exécutés et que leurs couleurs ne tirent pas dans les tons rouges-jaunes comme ailleurs. Grâce à eux, j’ai pu reposer mes yeux de temps en temps avant de me reprendre un flash de couleurs horribles.



L’inspecteur Mc Gregor (Scotland Yard) qui enquêtera aux côtés de Raffini est assez stéréotypé et aurait eu sa place dans Astérix chez les Bretons, sans aucun doute. La couleur rousse de ses cheveux et de sa moustache n’a pas aidé aux repos des yeux, ni à faire ressortir son visage des murs rouges.



C’est aussi un autre reproche que je ferai à cette bédé : les visages sont parfois peu marqués et ne ressortent pas des décors, comme s’ils se fondaient dedans. Il faut plisser les yeux pour distinguer les expressions et bon sang, à force, c’est le rencart chez l’ophtalmo qu’il va me falloir. Par contre, dans d’autres cases, les visages étaient bien marqués et ressortaient des décors ambiants.



Du côté du scénario, c’est assez bien ficelé, plusieurs pistes se dégagent de l’inconnue de Tower Bridge et pour son identité, les enquêteurs ne savent plus à quel saint se vouer. Là, les auteurs marquent un bon point.



L’avantage de la bédé, c’est qu’elle se déroule dans les années 50 et donc, pas d’informatique pour aider nos limiers, on fait tout à l’ancienne. L’absence de smartphone, c’est une chose que j’apprécie toujours dans une enquête.



Par contre, ensuite, tout va très vite dans la résolution de l’affaire et ça tombe à plat, car c’est un tuyau anonyme qui va envoyer nos poulets sur le lieu de rendez-vous pas très catholique et s’ils trouvent le coupable de cette affaire, ce ne sera pas grâce à leur perspicacité, mais plutôt grâce à ce coup de fil.



Bardaf, fin de l’épisode alors qu’il reste encore plein de pages… Celles-ci sont consacrées au commissaire Raffini, ses différentes enquêtes, qui il est, des esquisses de l’album et un petit gag (19 pages !!).



Sincèrement, j’ai l’impression de m’être faite gruger avec cette bédé, aussi bien point de vue des couleurs criardes, que certaines esquisses des visages qui se fondaient dans le décor, sans oublier des erreurs de proportions et de perspectives qui parsèment l’histoire.



Le scénario, qui partait d’un bon pied avec des fausses pistes et du mystère, tombe totalement à plat dans sa résolution qui tient plus du hasard (un coup de fil qui change une vie) que d’une investigation.



Tout s’enchaîne un peu trop rapidement à tel point que nos deux enquêteurs donnent l’impression qu’ils sont bousculés et ne s’attendaient pas à un tel dénouement.



Anybref, on va l’oublier très vite, cette bédé, sauf pour mes yeux qui en pleurent toujours.


Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Les enquêtes du commissaire Raffini, tome 11 ..

L’inconnue de Tower Bridge



Merci aux éditions tartamudo et à masse critique pour cet envoi, arrivé chez moi un peu cabossé.



Comme nous l’explique un curieux « dossier Raffini » en fin de volume, Rodolphe et Maucler succèdent à Jacques Ferrandez, créateur du personnage original. Dans cet épilogue où se mêlent fictions et carnets de croquis, fausses interview et résumés des ouvrages précédents, on apprend que Ferrandez était fan de la marque jaune et c’est sans doute l’explication de ce point d’interrogation tremblotant dans la tamise en couverture. Rodolphe est le scénariste et Maucler l’illustrateur. A moins d’être au courant rien ne le laisse entendre clairement. Donc voilà c’est fait.



L’enquête du commissaire Raffini se situe à Londres fin des années cinquante. C’est donc un Londres sans bling bling qui nous est montré : Les docks sont encore le coupe gorge que l’on sait avec les profils des grues et des hangars chers au capitaine Blake.



A part un coup de vent à l’arrivée sur le sol anglais, (page 8 vignette 6) c’est aussi un Londres où il ne pleut jamais. Les parapluies sont fermés. Pas de reflets dans les sols luisant d’eau. Pas de fog non plus, pas même un petit brouillard. Du vent et des feuilles qui volent. C’est pourtant l’automne. Septembre indien sans doute.



L’enquête est courte et attendue, les personnages, et c’est là l’atout de cette BD, sont bien typés reconnaissables d’une page à l’autre de dos et de profil. Les expressions sont justes, les mouvements sont élégants et gracieux, les vêtements souples et bien dessinés (à l’image du fameux loden vert de Mortimer dans la marque jaune). Les plans sont bien choisis, cinématographiques. Les dialogues enfin sont justes et parfois drôles.



Qu’est-ce qui cloche donc ? Le décor.



Londres sans pluie et son Tower Bridge un peu trop ramassé dérangent, et cette Bexley house page 25 m’a beaucoup intrigué : la perspective nous montre une voiture noire (et moche) de taille miniature si on la compare à celles des fenêtres et des portes. Quant à la vue intérieure du hall (page 26), les ombres sont fausses puisque la porte est à moitié ouverte et que les fenêtres sont plus basses que la porte (contrairement au dessin de la page 25).



Ces erreurs de proportions et de perspectives se retrouvent dans le manoir du Terrieux avec son mur de clôture à géométrie variable comme celle des portes de la gare de Mérignac (pages 31& 32). Et dans bien d’autres cas jusqu’à l’image finale du Tower Bridge curieusement maigrichon.



Décidemment tout est dans les personnages et dans leur ergonomie.

Raffini, bourru mais sympathique assiste nonchalamment à son enquête et le coupable se désigne lui-même sans que quiconque ait à chercher quoi que ce soit. Le lecteur lui, a tout compris avant les autres.



Avis mitigé donc pour cet ouvrage et son « dossier » final qui a l’air de dire « QUOIIIIIIIIIIIIIIII, vous ne connaissez pas le commissaire Raffini !!!! Mais on ne parle que de lui à Angoulême…….pauvre ignare ! ». J’assume.



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Phil et Sof - Les prézados

Phil est un cossard fini à l’école. Les devoirs… connait pas trop ; les mauvaises notes, pas trop assumées, il est habillé en uniforme djeuns

Sof bonne élève, déjà BCBG dans ses vêtements.

A priori, rien de les rapproche, pourtant ils sont amis, s’aiment en silence, ont les problèmes des enfants, heu pardon !! des jeunes de leur âge et nous offrent une collection de perles, de réflexions pas idiotes du tout. Phil et Sof sont très attachants et ont fait les délices de ma grande Emilie de 10 ans… Il y a des moments où elle s’est retrouvée avec ses copines et copains. Les jeux de mots, très présents dans cet album, ont fait les délices de la grand-mère



Les dessins, très expressifs, me plaisent beaucoup. Tout est dans l’humour et l’ironie, mais les bons sentiments ne sont jamais loin.



Ce sont des berlingots acidulés et sucrés qui font du bien. Surtout ne pas croquer et laisser fondre sur la langue pour en apprécier la substantifique moelle. Bien sûr, ce livre est parti de mes étagères pour rejoindre celles d’Emilie !



Je remercie Babelio et ainsi que les Editions Tartamudo pour cette délicieuse et ironique lecture.


Lien : http://zazymut.over-blog.com..
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Les enquêtes du commissaire Raffini, tome 10 ..

le commissaire Raffini est en vacances dans le sud de la France pour le mariage d'un ancien collègue et se retrouve mêlé à une étrange disparition...

histoire intéressante mais traitée un peu vite à mon gout.
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Mystère au pays de Gustave Courbet

J'ai adoré ce livre, ou plutôt cette BD, car , premièrement cet artiste- peintre ( Gustave Courbet) a vécu dans ma région ( La Franche-Comté ) et que secondement j'adore cette histoire!



Tous commence au lycée, deux enfants doivent faire un devoir ensemble... sur Gustave Courbet! Donc il parte dans le pays de Courbet... Mais des évènements étranges se produisent: ces deux lycéens voient Gustave Courbet peindre, sauf que, c'est impossible car il mort...



Un mélange d'histoire et d'aventure, avec un zeste de suspens!
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Phil et Sof - Les prézados

Une dualité à consommer sans modération pour un auteur prolifique et attachant dont on attend avec une certaine impatience « Les Misérables de Besançon ».
Lien : http://www.bdencre.com/2016/..
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Les enquêtes du commissaire Raffini, tome 8 :..

Ici, tout y est pourtant : un cadavre retrouvé dans une rivière, un petit village où tout le monde s'épie et se soupçonne, où tout se sait mais où rien ne se dit. Des caractères forts et la rumeur qui court. Le café et sa patronne, l'église et son curé, l'école et son instituteur, le notable en son château, le médecin de campagne et sa bouteille. De quoi construire une belle énigme.



Mais 46 pages n'y suffisent pas. Le portrait est trop vite brossé et l'issue reste peu convaincante. L'enquête se résout rapidement, des personnages apparaissent à la toute fin de l'album pour nous offrir un dénouement venu de nulle part.
Lien : http://itzamna-librairie.blo..
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Besancon - les Grandes Heures d'une Ville L..

Ce n'est pas de la grande bande dessinée mais ces deux ouvrages ont le mérite d'apporter des éclairages historiques sur la construction dela ville, sur les raisons qui font que la région s'appelle Franche-Comté, etc.



Besançon fait appel à de multiples flashbacks et à une astuce scénaristique faisant directement intervenir les deux héros dans ces flashbacks quand bien ne seraient-ils que spectateurs. De l'Antiquité romaine à la libération de la ville en 1944 en passant par le Moyen-Âge, l'époque espagnole et la Révolution, on suit les aventures des deux jeunes gens dans les péripéties de la ville.
Lien : http://croqlivres.canalblog...
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Besancon - les Grandes Heures d'une Ville L..

Cette bande dessinée est un bon moment pour apprendre l’histoire de la ville de Besançon, de l’époque de Jules César, en 58 avant JC à la fin de la seconde guerre mondiale.

Bonne idée d’apprentissage, cette bande dessinée est plutôt ludique sur cette ville franc-comtoise, les personnages qui racontent l’histoire apportent une très légère touche humoristique.
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Les enquêtes du commissaire Raffini, tome 11 ..

Avant toutes choses, je tiens à remercier Masse Critique et les Editions Tartamudo pour cet envoi. L’affaire se déroule sur les bords de la Tamise en 1957. Une jeune femme est retrouvée morte aux pieds de Tower Bridge. Le commissaire Raffini est chargé d’apporter son appui à Scotland Yard. Rodolphe nous offre un scénario plutôt simple mais efficace ; l’enquête doit être régler au format traditionnel d’une B.D., c’est-à-dire 48 planches, on a l’impression que les évènements s’enchaînent un peu trop rapidement et bousculent le commissaire Raffini. Pour ce qui est des aquarelles de Maucler, celles-ci nous plongent rapidement dans ce Londres des années 50. La mise en page, qui ne respecte pas les 3 ou 4 bandes par planche, apporte beaucoup au dynamisme de la B.D. Que dire de la vingtaine de page qui constitue le dossier à la fin ? L’historique de la série est retracé et fournit quelques réponses à certains choix effectués. J’ai apprécié ce volume et cela m’a donné envie de lire les précédents tomes.
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Les enquêtes du commissaire Raffini, tome 7 :..

voilà une enquête comme je les aime !

on connait le coupable dès le début et l'intrigue porte sur la façon dont le commissaire va se débrouiller pour le démasquer.

un bon moment de lecture !
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Le pacte de Vauban-Besancon, mort et résurrec..

On va aller vite, ce n'est pas de la grande bande dessinée mais ces deux ouvrages ont le mérite d'apporter des éclairages historiques sur la construction dela ville, sur les raisons qui font que la région s'appelle Franche-Comté, etc.Le Pacte de Vauban est un peu moins axé historique. La romance entre les deux héros, combinée à un pacte entre Vauban (d'où le titre du bouquin, vous avez bien suivi) et le personnage masculin font que les aspects historiques sont un peu plus survolés. Du coup, personnellement, j'ai moins aimé le deuxième opus des aventures bisontines.
Lien : http://croqlivres.canalblog...
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Les enquêtes du commissaire Raffini, tome 8 :..

Avec ses airs de Maigret, sa grosse moustache et son goût pour le petit verre, Raffini est un personnage attachant qu’on retrouve avec plaisir sous les traits réalistes précis de Christian Maucler et sa mise en couleurs "aquarellée".


Lien : http://www.auracan.com/album..
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Besancon - les Grandes Heures d'une Ville L..

Voilà une manière bien sympathique de s'instruire un peu sur une région.
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Les enquêtes du commissaire Raffini, tome 11 ..

L’ambiance londonienne de l’intrigue est mise en valeur par les aquarelles de Christian Maucler qui, du smog des docks de la Tamise aux vives couleurs automnales de la périphérie, donnent tort à Raffini : l’Angleterre lui va très bien.
Lien : http://www.actuabd.com/Une-E..
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Phil et Sof - Les prézados

Cette bd sans prétention nous emmène dans le monde de Phil et Sof, deux jeunes dont le quotidien est l'école, le rapport avec le monde des adultes!

Ces prézados ne sont d'ailleurs pas dénués d'humour!!!!

Une bonne lecture d'été qui plaira sûrement à nos prézados!!!!!
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Phil et Sof - Les prézados

Une bande dessinée qui regroupe plusieurs petites parues dans une revue de jeunesse. Je ne connaissais pas du tout les personnage avant d'avoir la bd. J'ai bien aimé, c'est des petite bd de quatre case chaque fois ce qui permet de lire le livre en plusieurs fois.

Comme toujours certaines sont très drôles, d'autre moins mais l'ensemble est pas mal. Cela amène quelques sujet que les ado doivent affronter et permet une ouverture de dialogue.

Par contre je n'ai pas mis de meilleur note, car pour ma part, je n'aime pas trop les dessins et le design de la bd. De plus les habits des ado font beaucoup penser au années 80. Dommage que le dessinateur n'ai pas su actualiser cela au fils des années. Ce qui après tant d'années aurait pu être drôle de voir l'évolution de nos cher ado et permettre aux ado actuels de mieux s'identifier au personnages.
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Phil et Sof - Les prézados

L’album est accessible dès l’âge de 9 ans. Si la compréhension de la grande majorité des strips ne posera aucun problème dès cet âge, Christian Maucler se lance aussi dans des jeux de mots plus subtils qui satisferont aussi les lecteurs plus âgés.
Lien : http://www.actuabd.com/Phil-..
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Les enquêtes du commissaire Raffini, tome 9 :..

Ce polar classique, formellement apaisé, sans effusion de sang, a un petit côté langoureux, pause méditative et intelligente plutôt rare dans ce genre de récit.
Lien : http://www.actuabd.com/Une-E..
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