p. 179 : Les yeux rivés sur son plan de Paris, Samia se délecte de tous ces noms de rues, de ponts, de places. Elle ne peut pas s'empêcher de les prononcer à voix basse. Ils fleurent bon la liberté. ça n'a pas de sens, mais c'est ce qu'elle ressent.....Elle va rater un train mais qu'importe, elle prendra le suivant.... Elle se lève du banc où elle était assise et commence à marcher d'un bon pas. Elle se dit "c'est ma marche". "C'est ma marche vers la liberté."