Jamais auparavant on n'avait songé à faire de la musique comme on peint un tableau, en suggérant un frémissement de volupté, d'envoûtement et d'épicurisme. On y retrouve une sensualité illustrée par des effleurements, des ivresses et des égarements vers les délices de la virtuosité. Les Saisons sont un livre du temps plein d'émois, une peinture des sentiments. En les interprétant, je sentais confusément q'elles étaient l'oeuvre d'un libertin plutôt que d'un prêtre.