Stefano rit.
_ C'était un critère de beauté à la Renaissance. La coiffure savante, les bijous qui mettent en valeur ses épaules, larondeur de se seins et la ligne fluide de son cou. C'est un portrait posthume, mais combien idéalisé, sublimé !
_ Qu'est ce qui vous fait dire qu'il est posthume ?
_ Le serpet enroulé autour du collier. Il est à la fois le Mal, la tentation, la séduction, mais il était aussi la vie éternelle dans le christianisme primitif.