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EAN : 9782253040507
320 pages
Préludes (09/06/2021)
4.07/5   96 notes
Résumé :
Sabrina, restauratrice au musée des beaux-arts de Bruxelles, sort d’une rupture amoureuse et vient de perdre sa grand-mère Angela. Dans la maison qu’elle a vidée de ses effets personnels, la jeune femme a découvert une magnifique sculpture en argile représentant un buste de femme, signée de la main de Costanza Marsiato. Le modèle n’est autre que Simonetta Vespucci, qui a illuminé le Quattrocento italien de sa grande beauté et inspiré les artistes les plus renommés d... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (51) Voir plus Ajouter une critique
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Sabrina, restauratrice d'oeuvres d'art au musée des Beaux-Arts à Bruxelles est en possession d'une sculpture étonnante qui lui vient de sa grand-mère Angela, décédée dernièrement.
Angela est venue de Toscane après 1945. Son mari faisait partie des nombreux ouvriers italiens volontaires pour travailler dans les mines wallonnes. Ce buste d'argile revenait à chaque fille aînée de sa famille depuis des siècles.
Sabrina fait appel à son ancien professeur d'Histoire de l'art avec qui elle a eu une histoire d'amour qui s'est terminée dans la douleur.
le buste est signé Constanza Masiato. le modèle n'est autre que Simonetta Vespucci qui a illuminé tout Florence à la manière d'une étoile filante. Hélas !
Sabrina décide de partir à Florence sur les traces de ses origines et de la sculpture de la terre. Elle est aidée au départ par un spécialiste du Quattrocento.
Elle retrace l'histoire des artistes qui ont croisé le chemin de la jolie Simonetta Vespucci et l'ont représentée.
Les chapitres sont partagés sous forme de narrations entre Sabrina, la restauratrice ; Angela, sa grand-mère ; Constanza , la sculptrice du 15ème siècle, auteure de l'oeuvre et Simonetta Vespucci , la belle Florentine.
C'est un roman très intéressant qui nous livre des techniques de modelage de l'argile , de cuisson.
J'ai beaucoup aimé le passage où l'auteure fait habilement la distinction entre l'artisan et l'artiste. L'interprétation de la peinture sur la couverture du livre et ses symboles sont très intéressants.
Je ne connaissais pas les livres de Christiana Moreau et j'ai beaucoup apprécié sa manière d'écrire ainsi que la documentation approfondie de ses sujets.
Je savais par contre qu'elle était originaire de la région liégeoise.
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Che meraviglia ! Une petite merveille !
Quand un ami féru d'art à la très belle plume l'a chroniqué, j'ai éprouvé l'envie irrépressible de lire La dame d'argile. La Sans Pareille, Florence, le quattrocento et quelques femmes courageuses me donnaient rendez-vous. L'amour aussi est au rendez-vous celui de l'art, des hommes, d'un pays
Je m'étais toujours demandé pourquoi tant d'italiens étaient parti en Belgique maintenant je sais . La vie d'Angela qui rejoint son époux mineur en Belgique est touchante quand on pense à toutes ces pesonnes séparées de leur famille, de leur pays , de leur culture. Quel courage !
Une statue sert de fil conducteur à une histoire d'exil : du coeur, d'un pays, de sa passion, de sa famille.
Simonetta est la Sans Pareille, cette étoile filante au destin tout tracé par sa naissance qui embrasa le coeur des florentins, de Boticelli et de Giuliano de' Medici. Une triste et brève destinée mais un rendez-vous avec l'immortalité.
Costanza Marsiato est l'artiste qui a sculpté la belle dame. Elle veut apprendre à Florence auprès des plus grands, tous les grands artistes s'y trouvent. Elle bravera tous les interdits, se travestira en homme. Son ami, seul au courant la laissera partir par amour et veillera sur elle. Malheureusement Savonarole prend le pouvoir et une fois encore l'art et la beauté sont détruits. Elle réussira à fuir Florence avec sa statue.
Des années plus tard, à la mort de Nonna Angela, la statue (petit bout d'Italie ramené dans ses valises) est donnée à sa petite-fille Sabrina qui veut connaître son histoire. Désireuse de découvrir ses racines et pour mettre fin à une relation malheureuse cette dernière part pour Florence. Et là, j'ai eu l'impression que la phrase : « le temps revient. » s'accomplissait, l'histoire de Costanza est découverte et perdurera grâce à Sabrina qui ramènera à son tour un bout d'Italie.
De sa plume douce et émouvante, Christiana Moreau a su restituer la vie florentine du Quattrocento, donner une voix à ses nombreuses familles émigrées en Belgique même si leurs débuts furent difficiles on y retrouve l 'âme italienne telle un rayon de soleil. Une autre grande dame est Florence avec ses monuments, son riche passé, la campagne toscane, Impruneta et ses terres cuites, là ou tout commença.
C'est aussi un clin d'oeil du destin car si Costanza n'a pu devenir artiste, cinq cent ans plus tôt, Sabrina sa descendante est restauratrice au Musée des Beaux-Arts de Bruxelles.
Je vous recommande chaudement ce COUP DE COEUR ainsi qu'un week-end à Florence car c'est un roman qui se lit d'une traite.
Merci aux éditions Préludes.
#La dame d'argile#NetGalleyFrance
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Quatre histoires quatre chemins de vie de quatre femmes jeunes belles et droites comme des flammes.
Des siècles les séparent et un fil conducteur les unit, celui d'un héritage, d'une passion, d'un amour et d'une incroyable force de vivre. A cela s'ajoute le talent d'une conteuse qui est l'auteure, Christiana Moreau, dont la connaissance érudite d'un quattrocento majestueux et bouillonnant d'une effervescence artistique que nous connaissons, enrichit le roman et lui confère valeur de document.
Sabrina la conservatrice du Musée des Beaux-Arts de Bruxelles, Angela, sa grand-mère, Constanza Marsiato la talentueuse sculptrice de la Renaissance, audacieuse et passionnée, et Simonetta Vespucci, "la Sans Pareille", modèle des plus grands peintres, beauté radieuse. Un buste de Simonetta réalisé par Constanza est transmis d'une génération à une autre, de mère en fille, jusqu'à nos jours et devient la propriété de Sabrina. Si proches, si lointaines, le temps est le premier à s'étonner des liens forts qu'il a créés entre elles. Un fil de soie, fin et fragile, souple et résistant unit les quatre femmes. La vie a essayé de le casser, mais il s'est noué, renforcé et assoupli pour pouvoir épouser sans trop de dégâts les chemins rocailleux, boueux, souvent en pente raide, et avancer.
Le roman prête sa voix lyrique à l'histoire de ces femmes et rend hommage à la création et la transmission à la passion qui n'est pas vouée à l'échec et qui se transforme dans "la médiocrité du quotidien".
Tout n'est pas éclatant dans la vie, c'est ainsi.
Après la guerre les italiens ont quitté leur terre pour trouver espoir sur une autre, et s'y établir.
Angela et son mari Giuseppe sont cette immigration italienne en Belgique où les mines de charbon attendaient la main d'oeuvre de ceux qui voulaient survivre coûte que coûte et nourrir leurs familles.
Constanza Marsiato est artiste flamboyante dans un XVe siècle dont les lumières ne reconnaissaient ni n'éclairaient facilement la femme autrement qu'au foyer, épouse et mère. Son oeuvre est née pourtant d'une passion que rien et personne ne pouvait étouffer. le buste en terre réalisé par Constanza a survécu, "les grands artistes ont toujours raison trop tôt" , mais ils ne le savent pas toujours... qu'importe.
La Dame d'argile, très fragile, est née de l'amour et devient résistante au passage du temps.
Renaissance, "le temps revient" la devise de Lorenzo il Magnifico, et grâce au talent de Constanza, Simonetta revenait, renaissait. le maître de la jeune sculptrice est éblouit : "même figure emblématique de son mythe de beauté universelle, païenne plus que chrétienne, femme plus qu'ange. Tu as su faire la synthèse de toutes ces choses sous-jacentes et les décrypter. Tu es une grande artiste..."
Symbole très fort, la terre est fil conducteur, lien et liant à travers les siècles, amour et source de vie, terre nourricière et créatrice.
Le roman comme une toile réunit les fils qui la tissent, qui se serrent et se nouent, leurs histoires créent et se perpétuent. La terre de la Toscane est la terre universelle, germination, création et transmission, et le temps revient... un jour, on ne sait pas quand.
Toutes les routes mènent à Rome et ici elles mènent à la création, la passion et la naissance d'une beauté devant laquelle le temps s'arrête, pour la contempler.
L'histoire racontée d'un ton léger et d'une écriture fluide, nous envoie ce message de quête enflammée qui entretient la vie. Quatre femmes, quatre graines et des germinations sans fin.
Du début à la fin le roman traverse les siècles jusqu'au quattrocento par l'identité de ces femmes unies sans le savoir par un buste d'argile, de terre, qu'elles ont créé, adoré, transmis et offert à la postérité.
Christiana Moreau, peintre et sculptrice, passionnée du quattrocento, nous donne rendez-vous avec les grands artistes de l'époque, et de tous les temps, dans leurs ateliers, avec leur technique et leur combat, l'un d'eux, Sandro Botticelli , "nature si sensible, vulnérable" nous accompagne ainsi qu'il accompagne Constanza et nous éclaire de son génie et de sa bienveillance, de son amour infini pour la peinture.
La nature a créé des chefs d'oeuvre, l'homme aussi, il suffit d'un regard amoureux pour qu'ils renaissent à tout instant.
Merci Alain pour m'avoir guidée vers la découverte de cette auteure et de son roman de passion et de lumière.
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Au décès de sa grand-mère, Sabrina, restauratrice d'oeuvres d'art au musée des Beaux-Arts de Bruxelles hérite d'une superbe statue, sur laquelle est gravé : Constanza Marsiato, avec comme devise : « La sans pareille ». Qui peut-bien se cacher derrière ce nom ?

Elle va donc remonter dans l'histoire familiale pour comprendre pourquoi une statue d'une telle valeur a pu être en possession d'Angela, sa grand-mère donc, qui a quitté son Italie natale en 1945 pour suivre son mari qui a fui la misère pour aller travailler dans les mines en Belgique via un contrat sordide : 1000 tonnes de charbon pour chaque ouvrier italien qui viendra creuser dans des conditions plus que précaires.

« le premier accord bilatéral « mineur-charbon » prévoyait le transfert de cinquante mille travailleurs italiens dans les mines belges. Pour chaque ouvrier envoyé en Belgique, l'Italie recevait une tonne de charbon. Des hommes échangés contre du charbon ! »

Angela rejoint Giuseppe, son mari deux ans plus tard, emportant avec elle, un seul bien précieux cette statue qui se transmet à la fille aînée de génération en génération : « la Belle Dame », comme on l'appelle dans la famille. L'exil est douloureux, avec son corollaire, la pauvreté et la difficulté de se faire accepter et aussi la revanche à prendre pour la génération suivante.

Le récit fait alterner l'histoire d'Angela, celle de Constanza, celle de Simonetta Vespucci et bien sûr celle de Sabrina et plus on avance vers l'authentification de la statue, plus on apprend de choses sur le statut des femmes depuis le Quattrocento. Les femmes, à l'époque, ne pouvait pas être artiste, sinon elles encourraient la peine suprême.

On a des images fortes, telle Constanza déguisée en homme pour pouvoir se faire embaucher dans un atelier où l'on travaille l'argile, et on exécute des oeuvres pour le compte des Medici alors que leur puissance commence à décliner. Certes Lorenzo, Il Magnifico règne toujours mais la révolte gronde attisée par les incantations de Savonarole, le grand incendie des oeuvres dites licencieuses : le bûcher des vanités

"Autrefois insouciante dans sa joie de vivre, Florence était maintenant sous l'emprise d'une affolante fièvre de pénitence, sous la domination du prêcheur obnubilé par le péché. C'est à l'aide de ces malédictions apocalyptiques qu'il enterrait les libres penseurs. Dans les rues, ses jeunes disciples qu'il désignait comme son « armée des anges » appelaient au repentir."

Chaque période est intéressante, et j'ai eu un plaisir immense à côtoyer Simonetta Vespucci, la Sans Pareille, qui posait nue pour Sandro Botticelli par exemple, sur les moeurs de l'époque. Son arrivée et son installation à Florence au printemps 1472 montrent à quel point elle a été importante, dans la cité, et l'amour que lui portait la population. Dès son arrivée, Giuliano, le frère de Lorenzo est tombé amoureux d'elle, comme chaque habitant de la ville.

L'auteure nous explique la manière de travailler l'argile, les différentes sortes d'argile, le manière de réaliser la cuisson, avec une belle réflexion très intéressante sur l'artiste par rapport à l'artisan.

Souvent, dans ces récits gigognes, je trouve la partie qui se passe de nos jours, décevante, par rapport au XVe siècle notamment, et dans ce roman Christiana Moreau nous présente une héroïne qui souffre car ne réussit à vivre que dans son métier aux dépens de sa vie personnelle, mais elle est attachante et quand elle raconte son coup de foudre pour Florence, avec des allusions sympathiques au Syndrome de Stendhal, elle est crédible et à la hauteur des femmes qui l'ont précédée.

J'ai découvert Christiana Moreau avec « Cachemire rouge » qui m'a beaucoup plu alors je n'ai pas hésité, au grand dam de ma PAL, à choisir celui-ci quand il a été proposé par NetGalley. C'est un bel hommage à l'Art, dans toute sa splendeur, et toutes ses dimensions. J'ai arpenté Florence avec Sabrina, découvrant avec elle toutes ses splendeurs et mes yeux brillent encore. Entre nous, je suis pratiquement certaine que je tomberais en pâmoison dans cette ville, en rencontrant autant de beauté que je n'ai pas encore visitée et pourtant ce n'est pas l'envie qui m'en manque…

Tout est soigné et beau dans ce roman comme en témoigne la magnifique couverture qui semble inspirée du portrait de Simonetta attribué à Piero di Cosimo.

Je dévoile le moins de choses possible afin de vous donner envie de lire ce beau roman, écrit par une artiste car, outre ses talents de peintre, l'auteure travaille elle-même l'argile, et grâce à elle, j'ai découvert les particularités de l'argile de la ville de Impruneta, ville située quatorze km au sud de Florence qui devient rose après la cuisson.


Un grand merci à NetGalley et aux éditions Préludes qui m'ont permis de découvrir ce roman et de retrouver la plume de Christiana Moreau dont il me reste à découvrir « La sonate oubliée ».
immense coup de coeur donc.

#LaDamedargile #NetGalleyFrance
Lien : https://leslivresdeve.wordpr..
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J'ai passé un très bon moment de lecture avec le roman La dame d'argile de Christiana Moreau.
Ce livre nous parle du destin de quatre femmes. Tout commence avec Sabrina, une restauratrice d'art qui vient d'hériter de sa grand mère une statue. Une oeuvre d'art nommée La dame d'argile qui date de la renaissance. Fascinée, Sabrina va faire des recherches. Comment sa grand-mère s'est-elle retrouvée en possession de cette oeuvre ? Qui en est le modèle ? Et qui l'a fait ?
Voici quatre destins et époques différentes qui se font écho.
A travers ce livre se fait ressentir la passion de l'auteure pour les arts plastiques. Ce qui donne du relief à l'histoire et une certaine harmonie. Ce fût une belle surprise.


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Citations et extraits (45) Voir plus Ajouter une citation
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Lorsque la pièce montée en creux atteignit environ trente centimètres de hauteur et eut la silhouette générale d’une tête, d’un cou et d’épaules, elle s’assit devant sa tournette pour reprendre tous les volumes avec les fins outils de buis. L’ébauchoir pour le modelage des galbes, les mirettes en forme de boucles à fil rond pour évider et celles à fil plat pour les reliefs. Par degrés, sa statue prenait forme. Elle oubliait tout dans l’instant du plaisir de son travail. Une florentine surgissait de l’argile le buste nu, chose rare à la Renaissance. Cette jeune femme avait désormais un visage et Costanza pouvait lui parler, lui conter son histoire et ses tourments comme elle le faisait dans son enfance avec ses poupées de terre. Quelle ivresse de créer une amie de ses mains, de faire naître une confidente sous ses gestes.

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Stefano rit.
_ C'était un critère de beauté à la Renaissance. La coiffure savante, les bijous qui mettent en valeur ses épaules, larondeur de se seins et la ligne fluide de son cou. C'est un portrait posthume, mais combien idéalisé, sublimé !
_ Qu'est ce qui vous fait dire qu'il est posthume ?
_ Le serpet enroulé autour du collier. Il est à la fois le Mal, la tentation, la séduction, mais il était aussi la vie éternelle dans le christianisme primitif.
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- Je dirais qu'un artiste à tendance à se positionner au-devant de son œuvre, alors qu'un artisan s'efface derrière. D'ailleurs, il ne la signera pas. Il appliquera des techniques mais ne pourra pas être créatif, tandis qu'on attend d'un artiste qu'il fasse du nouveau.
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J’ai été saisie par un bouleversement intense devant la splendeur de cette peinture. Bien sûr, je la connaissais. Je l’avais regardée cent fois en photo. Je la trouvais belle dans les livres, mais cela n’a rien à voir avec ce que j’avais là devant les yeux ! Aucune des images qui la représentaient ne pouvait rendre le contraste époustouflant entre la luminosité du ciel et l’obscurité des arbres en ombres chinoises, entre la peau opaline et la transparence des voiles. Ah ! Simonetta ! Le personnage féminin ! Peint six fois sur cette allégorie du printemps, démultiplié dans sa beauté. Elle encore dans la représentation de Flora, l’héroïne centrale à la robe parsemée de fleurs. Des fleurs qui poussent sous ses pieds nus à chaque pas.

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Simonetta Vespucci, la Sans Pareille, bien que mariée, fut la « Dame » du chevaleresque Giuliano (Medici) c’est-à-dire l’idéale bien-aimée…

… Cette jeune femme a illuminé les chefs-d’œuvre des maîtres du quattrocento, Ghirlandaio, Pollaiuolo, Piero di Cosimo, Botticelli ou Leonardo da Vinci. Elle était adorée, courtisée, les Florentins en étaient fous et une passion naquit entre elle et Giuliano de’ Medici.
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