Quand j'ai rencontré la peinture de Marc Chagall, je me suis mis à l'aimer comme les femmes, pour le maquillage, pour le désordre et la déraison. Est-ce que l'on sait que penser de qui vous fait perdre la tête ? On en est ébloui, voilà tout.(p.42)
Aragon, ( pour une préface à un catalogue d'exposition, Pierre Matisse Gallery, New- York, 1968)