Voilà. C’est comme ça que débute la grande dégringolade : on se met à parler à un chat, ou à un ridicule petit chien pourvu d’un manteau écossais et de petites bottines imperméables pour l’hiver. À brève échéance, c’est l’hôpital psy, la télé allumée en permanence, les séances d’art-thérapie, puis, à la fin de tout ça, l’urne funéraire proposée en dix modèles dans le catalogue des pompes funèbres, du plastique moulé en faux marbre de Carrare.
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