Ubu, maire de Nantes (L'Incotidien, 20 janvier 2021)
Le préfet de Loire-Atlantique, Didier Martin, se dit « surpris du niveau de délinquance » sur le territoire de Nantes.
Une surprise qui ne sera sûrement pas partagée par les riverains, qui ont constaté que depuis que la ville des négriers est devenue la ville ... La situation n'a fait qu'empirer.
Mais enfin, quelle surprise ! Comment aurait-on pu se douter qu'en installant des centaines de migrants alcooliques et violents, la délinquance allait augmenter ?
D'ailleurs, l'alcool est coupable, selon le préfet... même pour les victimes ! « L'alcool est trop souvent présent, que ce soit chez les coupables, mais aussi chez les victimes, qui ne sont plus en capacité de se défendre », avance-t-il. Car il est bien connu que pour pouvoir circuler en sécurité sur son territoire, il est nécessaire d'être sobre et ceinture noire de Ju-Jitsu. Eh, Didier, et si, au lieu de blâmer la gnôle qui empêche de se défendre, tu faisais en sorte qu'on n'ait pas besoin de se défendre ?
Si une fille pouvait rentrer de chez elle sans craindre de se faire violer, ce serait tout de même mieux que de lui expliquer le lendemain que son enrichissement est de sa faute, car elle n'était plus en état de se défendre, non ?
C'est là tout le mal de notre société : la perversion qui consiste à faire de la victime un coupable, et trouver des solutions ubuesques à des problèmes simples : des migrants alcooliques et drogués terrorisent la ville ? C'est la drogue et l'alcool le problème. Pas le Sacro-Saint Migrant, l'enrichisseur perpétuel, le Salut de la Nation.
Attention à toi, petit blanc : si tu bois le demi de trop et que tu te fais fracasser comme cela arrive tous les jours en France, ce sera de ta faute, pas celle de Boubacar.
Pourtant, avant la remigration, des solutions simples existent déjà pour endiguer ce phénomène : réenclaver les cités, notamment, en supprimant les lignes directes entre ces dernières et le centre-ville serait déjà une avancée substantielle.
Mais au lieu de cela, on va sûrement finir par imposer des couvre-feu aux braves gens, pour leur propre sécurité.
Par Joseph Achoury-Klejman