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4.36/5 (sur 88 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Lisieux , le 15/11/1968
Biographie :

Je suis un passionné de cinéma en général, de polar en particulier, toutes périodes confondues. Hitchcock, Lang, Clouzot, Friedkin, le cinéma des années 40, 50, 60, 70, 80...
Je me suis naturellement tourné très tôt vers l’écriture du roman policier, un genre qui permet toutes sortes de fantaisies et qui propose un panel d’histoires très vaste. Cinéphile, gros lecteur, je revendique ainsi plusieurs influences, affectionne différents styles. Autodidacte, j'ai publié une nouvelle à compte d’auteur : « Blind test » parue aux éditions Edilivre en 2016. J'ai par ailleurs terminé second au concours de nouvelles du salon de Noeux-les-Mines en février 2017.
Mon premier roman «  Les loups et l'agneau » est paru le 28/08/2017 dans la collection Polars en Nord aux éditions Ravet-Anceau.
Je travaille actuellement dans une librairie papeterie à Caen dans le Calvados.
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Réfléchir lorsqu'on est en situation de stress, et pire, quand on est sur le point d'y passer, est aussi facile que de jongler avec trois marteaux en conduisant une Porsche à 200km/h...
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Personne ne sait exactement où et quand sont apparues les premières armes à feu. Ce qui est certain en revanche, c’est qu’au fil des siècles, les armes ont toujours exercé un pouvoir de fascination chez l’homme.
L’individu assis contre le mur jauni près de la fenêtre n’y dérogeait pas.
Leur développement, au cours des guerres, est en quelque sorte le reflet de l’évolution de l’humanité : en perpétuelle transformation et toujours prompte à donner la mort.
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Le visage boursouflé par les larmes et le chagrin, elle hurle des paroles incompréhensibles aux badauds qui essaient sans succès de la calmer. Dans sa main, un ours en peluche sourit malgré le drame. Un cliché certes, mais un cliché qui fera la une du Ouest-France du lendemain.
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Les princesses, ça n’existe pas, c’est que dans les films, avait-elle insinué.
Elle était sérieuse, il le savait. Il l’avait regardée longuement, se dandinant d’un pied sur l’autre. Pourtant il n’avait rien répondu, de peur qu’elle se moque. La voir se jouer de lui aurait été un signe de tromperie. Il ne le supportait pas. C’eût été un aveu même de défaite. La peur de perdre sa princesse Elle était sérieuse, il le savait. Il l’avait regardée longuement, se dandinant d’un pied sur l’autre. Pourtant il n’avait rien répondu, de peur qu’elle se moque. La voir se jouer de lui aurait été un signe de tromperie. Il ne le supportait pas. C’eût été un aveu même de défaite. La peur de perdre sa princesse était plus forte que tout.
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Dans la salle des pas perdus ne sont présents que ceux qui savent où ils sont.
Venturi's rules
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« La voix du monstre revient peu après, sonore et sépulcrale. C’est un timbre qui semble sourdre des abysses, tel un monstre des profondeurs. C’est ce que s’imagine Alice. Pourtant, selon les moments où la voix se fait entendre, certaines nuances et intonations semblent différentes. On pourrait presque penser que deux personnes cohabitent dans un même corps.
Deux monstres. Deux ogres. Alice trouve cela étrange. Repliée dans un coin de la caverne, elle serre les mains sur sa poitrine, sanglote en silence ».
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Ça ressemblait à un mariage contre nature, une hérésie. La gaieté des chansons associée aux lieux glauques représentaient une union impossible, aussi opposée que la vie et la mort.
Le temps semblait s’être étiré, pareil à un élastique plus ou moins tendu. La lumière naturelle, le soleil ou la pluie n’effleuraient jamais sa peau, si bien qu’elle ne pouvait pas quantifier le temps qui passe, ni appréhender les saisons.
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La voix du monstre revient peu après, sonore et sépulcrale. C’est un timbre qui semble sourdre des abysses, tel un monstre des profondeurs. C’est ce que s’imagine Alice. Pourtant, selon les moments où la voix se fait entendre, certaines nuances et intonations semblent différentes. On pourrait presque penser que deux personnes cohabitent dans un même corps.
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Il n’aimait pas la façon dont ça s’était passé. Non pas qu’il déplorait la mort d’Audrey, non… Il avait aimé jusqu’à ses couinements dans ses derniers instants de vie… Il ne regrettait rien mais se disait juste qu’un meurtre ne s’improvisait pas. Qu’il lui faudrait prendre quelques précautions les prochaines fois.
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"L'inspecteur Garnier fait la gueule. Ne souhaite pas donner raison à Letellier mais décide malgré tout d'agir comme un sparring-partner en lui retournant les coups sans le renvoyer dans les cordes. Encore moins ruer dans les brancards. Parce qu'il est flic et pas ambulancier."
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