[Au Moyen-âge] les dirigeants catholiques pensaient que « quand une femme pense seule, elle pense mal » […] Les catholiques pensaient que les femmes laissées à elles-mêmes pensaient mal (…), que la volonté des femmes les forçait naturellement à pécher et à se dépraver et, par là, influençait la volonté des hommes vers le péché. Comme c’étaient les femmes qui infectaient les hommes, peu d’hommes furent exécutés pour cause de sorcellerie.
[Différences entre la chasse aux sorcières du Moyen-Âge et la chasse aux nés-moldus, Elizabeth de la Torre, p. 53]