"Rien n'est plus triste que cette tristesse
L'odeur des racines monte doucement à mes narines,
Et la terre des champs, en même temps que les pierres,
me regarde.
Mais enfin pas question pour moi de m'atteler à la charrue !
Immobile et distrait je me tiens debout au milieu du crépuscule,
Et lorsque vaguement l'ombre de mon père vient me troubler,
je m'avance tout au plus d'un pas, ou deux."