Nationalité : France
Biographie :
Claire Garate est photographe et promeneuse.
Où qu'elle aille, elle laisse traîner son oeil aiguisé pour s'intéresser à des détails, mettre en lumière des bribes, des parcelles, des fragments, et qui sont à chaque fois évocateurs d'un ensemble.
Elle a sillonné Paris, fuyant la Tour Eiffel ou le Sacré Cœur, pour nous offrir, arrondissement après arrondissement, sa vision à elle, si personnelle
Claire Garate est photographe et promeneuse.
Où qu'elle aille, elle laisse traîner son oeil aiguisé pour s'intéresser à des détails, mettre en lumière des bribes, des parcelles, des fragments, et qui sont à chaque fois évocateurs d'un ensemble.
Elle a sillonné Paris, fuyant la Tour Eiffel ou le Sacré Cœur, pour nous offrir, arrondissement après arrondissement, sa vision à elle, si personnelle
Source : Ginkgoéditeur
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Citations et extraits (7)
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Les années passant,
Il a fini par comprendre
Qu’il lui fallait s’accepter.
Alors il s’est résolu
A consentir aux traits
Qui sont les siens
Il a fini par comprendre
Qu’il lui fallait s’accepter.
Alors il s’est résolu
A consentir aux traits
Qui sont les siens
Et, les jours d’hiver (ou de mauvais temps intérieur), on se demande quel est ce type, si familier, si lointain qui porte le même nom que soi
Cette photo s’intitule Le squale et les roses blanches. Les photos comme les tableaux prennent un titre, quand elles se donnent en poème.
Comme un livre inachevé sans une lecture aimante, une photo ne prend vie que par le regard qu’on lui porte.
Au milieu de la photo, ce visage épais de vieux narquois me laisse sans voix. Admettons qu’il me représente et n’en parlons plus.
C’est que le sourire ne se contrôle pas, que nous ne nous y contrôlons pas, que nous peinons en tout cas à le faire, que cette peine même est révélatrice et que, pour retenu qu’il soit, le sourire indique la sensibilité, suggère sa nature, dévoile l’inaccessible solitude où se joue tout le destin d’une incarnation
Il n’y a pas forcément un rapport entre un écrivain et son corps. Quoique…Céline et Proust ressemblent à leurs phrases. L’écrivain aimerait que l’on puisse photographier son écriture, ce qui est impensable.
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