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Critiques de Claire McGowan (146)
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Personne ne doit savoir

Bon, bon, bon... qu'est-ce que je vais bien pouvoir dire au sujet de ce roman ?

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Je ne connaissais pas l'autrice, comme du reste l'ensemble des lecteurs francophones, puisque deux de ses livres sont sortis récemment, à la même date.

Elle en a pourtant écrit beaucoup, mais les autres ne sont pas (encore ?) traduits.

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Personnellement, je ne pense pas me replonger dans l'univers de Claire McGowan.

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Bougez pas, je vous explique.

L'idée de départ était plutôt bonne.

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Alison, heureusement mariée avec Mike et mère de deux enfants Cassie 15 ans et Benji 10 ans, a enfin la grande maison de ses rêves, grand terrain, des bois partout alentour, seulement trois autres domeures, à distance plus que respectable.

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Mike gagne très bien sa vie, et notre héroïne et narratrice est bénévole dans une association d'aide aux victimes de viol et de maltraitance.

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Coïncidence... en prologue du roman, nous sommes dans la tête d'une femme venant de se faire agresser, dont on apprend dès le premier chapitre qu'il s'agit de Karen, meilleure amie d'Alison et de Mike.

Tout le récit va tourner autour de ce terrible événement.

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Le cadre : Alison a organisé un week-end de retrouvailles avec ses anciens amis de fac, plus ou moins perdus de vue depuis une vingtaine d'années.

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Peu sûre d'elle, un rien l'angoisse, elle appréhende de ne pas être à la hauteur, se trouve godiche.

Un peu contradictoire, si on considère qu'elle parle énormément de sa fierté d'avoir réussi sous tous les aspects de sa vie et qu'elle se fait un plaisir de l'étaler, notamment aux yeux de la pauvre Karen qui a bien des problèmes avec ses fins de mois.

La table de jardin hors de prix, les assiettes qui coûtent un bras, etc. enfin ça elle nous le dit à nous ; passionnant, n'est-ce pas ?

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Après l'agression de Karen, nous allons tourner en rond, enfin si l'on peut dire. Un coup on avance, un coup on recule, et ainsi de suite.

C'est machin le coupable... ben non, c'est impossible... tout compte fait si, c'est bien lui...

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La valse-hésitation tout du long du bouquin, ce que j'apprécie énormément, comme chacun ou presque le sait.

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C'est vraiment très dommage parce que l'autrice tenait vraiment un truc solide, mais les personnages sont tous si déplaisants. Bien décrits mais inintéressants et de manière redondante, alors je n'ai pas réussi à me projeter.

Et Alison m'a prodigieusement agacée.

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Donc, effectivement, il y a des rebondissements, il y a du suspense, il y a des émotions (du moins pour eux, c'est toujours ça de pris), mais je n'ai pas accroché du tout.

La plume est limite scolaire, rien de très emballant.

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Mais ce n'est que mon avis, je vous invite à vous faire le vôtre.

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Personne ne doit savoir

Déjà 20 ans que la bande de potes, alors étudiants à Oxford, ne s'est pas retrouvée réunie tous ensemble.... Aussi, Ali, présidente aujourd'hui du refuge pour femme de Bishopsdean, mariée à Mike, avocat d'affaires, est-elle un brin stressée lorsqu'elle doit tout organiser et prévoir pour ce week-end. Sa meilleure amie, Karen, désormais installée à Birmingham avec son fils, Jake, presque 18 ans, arrive bien avant l'heure. Ali l'avait pourtant prévenue qu'elle avait une réunion. Qu'importe, elle lui propose d'installer ses affaires dans la chambre de son fils, Benji. À son retour, Ali est ravie de retrouver Jodi, enceinte de 8 mois, et son mari, Callum, tous les deux avocats. Suivis peu de temps après par Bill, venu tout spécialement de Suède, où il habite depuis maintenant 20 ans. Ce qui devait être un week-end de retrouvailles chaleureux et un brin nostalgique tourne au drame lorsque, après une soirée bien arrosée, Karen, blessée, traumatisée et en sang, entre dans la cuisine, titubante et tremblante, et apprend, à ses deux amies présentes que Mike l'a violée, avant de tomber à genoux...



En aide aux femmes victimes de violences conjugales, Ali est alors confrontée à un terrible dilemme : doit -elle croire sur paroles sa meilleure amie qui affirme que Mike l'a violée ou celui-ci qui lui jure qu'il n'a absolument rien à se reprocher, même si l'état, physique et psychologique, de Karen montre bien qu'elle a été violentée ? Son mari en garde à vue, son amie qui ne lui parle plus, Ali va devoir affronter seule cette situation et va, très vite, découvrir des choses que, jusque là, on a toujours tenu à lui cacher. Et elle va bien avoir du mal à y croire tant cela lui paraît inconcevable, voire immoral. Heureusement que Bill, en bon ami comme il l'a toujours été au temps de leurs études, va l'épauler et l'aider. De cette bande d'amis, tous, ou presque, ont des secrets que Claire McGowan révèle petit à petit. Des secrets pour certains inavouables ou mystérieux dès lors que le nom d'une certaine Martha refait surface 20 ans plus tard. Ce thriller psychologique, qui navigue entre aujourd'hui et l'année 1996, se révèle bien ficelé et totalement addictif, la faute aux doutes qui s'immiscent, aux non-dits et aux mensonges, aux révélations surprenantes, aux sourires qui ne sont que de façade et à cette ambiance de plus en plus tendue.

Efficace !

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Personne ne doit savoir

Alison est fébrile, elle a organisé un dîner qui tient plus de la réunion d'amis. Les six se sont tous connus à Oxford, alors étudiants et , c'est peu de le dire, que certains ont mieux réussi que d'autres. Pour Alison, ça va , très belle maison, un mari , avocat d'affaire, deux enfants, elle a réussi à se sortir de son milieu.

Mais cette soirée sera un fiasco, Karen, sa meilleure amie, sera violée, et le violeur serait le mari d'Ali... Mike jure qu'il est innocent ...





Si l'auteure s'en était tenue à cette histoire, j'aurais été comblée. Mon problème, c'est qu'elle a voulu enrichir cette histoire de mille et unes petites histoires dont certaines sont pertinentes et apportent un plus au niveau du suspens, ou de la compléxité de l'histoire, d'autres moins. Je ne sais pas si elle a fait ça par "générosité littéraire", en voulant traiter pleins de sujets, enrichir la narration ou si c'est pour combler et maintenir le suspens de façon incohérente et parfois un peu "too much" !

- Que l'histoire trouve un écho dans le passé, avec une cold case, je vote "pour" .

- Les méandres et rapports compliqués de toutes ces amitiés, je vote "pour". Il y a de la jalousie, des trahisons, de l'indifférence, du calcul, de la pseudo fidélité, de l'égoisme, des secrets : tous ces rapports humains sont loin d'être manichéens et apportent beaucoup de crédibilité à l'histoire .

- Qu'Alison soit confrontée à un dilemne entre sa vie professionnelle et sa vie privée, cela apporte des nuances, cela fait réfléchir aussi... ( Alison travaille pour une association qui défend les femmes victimes de violences, de viols . Elle se bat pour qu'on croit sans réserve les femmes qui se disent victimes de viol et là elle ne croit pas sa meilleure amie préférant sauver son couple et sa famille...)

- La vie amoureuse de Karen, tout au long de ces 25 ans, c'est intéressant...





Mais j'ai trouvé que d'autres sujets comme le harcélement scolaire ou sexuel, la greffe d'organe etc... alourdissait l'histoire au risque de la rendre indigeste, desservait le fil conducteur du récit, en éloignant l'attention du lecteur, qu'ils était gratuits, en somme..

Je n'ai pas aimé le caractère du personnage principal , un peu à géométrie variable.

Ses réactions m'ont souvent étonnées. Elle défend coûte que coûte son mari mais ne s'occupe absolument pas de ses enfants dans un moment pareil. il me semble qu'ils devraient passer en priorité.





Avis mitigé pour ce roman dont la lecture a tout de même été agréable. Dans toutes ses idées, madame McGowan aurait dû faire le tri et ne garder que l'essentiel, son roman, les idées qu'elle voulait faire passer, en aurait été que davantage percutant, mais ce n'est que mon avis...
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Personne ne doit savoir

Quand une réunion d’anciens amis tourne au cauchemar.

Ils se sont connus à la fac. Ils étaient tous de très bons amis. 25 ans plus tard, Alison et Mike décident de tous se réunir, Bill le mec cool, Karen la croqueuse d’hommes, Callum et Jodi, pour ressusciter le passé, se rassasier d’anecdotes. C’est surtout l’occasion pour les hôtes de montrer à leurs amis leur réussite sociale, leur maison, leurs deux enfants, Benji et Cassie. Tout s’est bien passé jusqu’à ce que tard dans la soirée, alors que les uns dessoulent pendant que les autres dorment, Karen surgisse de nulle part en pleurs, une trainée de sang sur la cuisse, et qu’elle accuse Mike de l’avoir violée…

Le début de l’histoire semble banal, genre « bienvenu dans un monde parfait ». Heureusement l’auteure rentre vite dans le vif du sujet et enchaîne les rebondissements. Il y a du suspens et le lecteur est rapidement pris par cette histoire incroyable et ce, jusqu’à la dernière ligne.

C’est un très bon roman à la lecture facile et pleine de surprises. Le style est clair, léger et la construction de l’intrigue parfaitement maîtrisée. C’est un polar qui sort des sentiers battus. A découvrir !

Traduction d’Odile Carton.

Editions Hauteville, 379 pages.

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Personne ne doit savoir

Voilà la dernière parution d'un genre littéraire que l'on pourrait appeler faute de mieux "mélodrame CSP+" pratiqué essentiellement par des auteurs anglo-saxons. L'histoire est construite sur un thème unique, avec diverses variations : le cadre est une réunion pour un repas, un week-end, des vacances, entre amis,parents ou voisins, vivant en général dans des banlieues résidentielles, en général trentenaires ou quadragénaires, appartenant à ce que les Anglais appellent "Uper middle class", assez ou très aisés, exerçant des professions prestigieuses, souvent dans le droit, la médecine, la finance, avec éventuellement un membre "détonnant" ayant moins bien réussi ou venant d'un milieu social inférieur. Lors de la réunion, un ou plusieurs secrets sont révélés, concernant une faute commise par un membre du groupe. Il en ressort naturellement une crise qui se dénoue et bouleverse la vie des participants.

L'action du livre se déroule dans le cadre d'une variante assez fréquente : la réunion d 'amis qui ont fréquenté dans le passé la même école ou université et se sont plus ou moins perdu de vue. Et..eh bien j'ai raconté l'essentiel.

L'exercice est réussi, dans ses limites, et le cahier des charges est respecté.

J'apprécie ce genre de livres de temps en temps. Ils sont d'une lecture facile, rapide et distrayante. le seul reproche qu'on peut leur faire est qu! après lecture de plusieurs livres appartenant au genre, les intrigues ont tendance à se mélanger dans les souvenirs du lecteur.

Mais revenons à notre livre : dans sa catégorie, c'est un bon cru. Il est agréable à lire, avec un bon suspense et une fausse piste bien amenée aux alentours de la page 160 (édition numérique)

Sa note lui est attribuée à ce titre et non dans l'absolu
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Personne ne doit savoir

Des amis d’Oxford se retrouve vingt ans après pour un diner dans la luxueuse maison d’Allison et Mike. Les retrouvailles sont joviales et alcoolisées, un peu comme le dernier soir qu’ils ont passé ensemble avant de quitter l’Université d’élite qui les a réunit. Au cours de la soirée, Karen, la meilleure amie d’Allison, est violée. Elle accuse Mike. Cet évènement épouvantable va faire ressortir de terrible secrets et de vieilles blessures, le tout arrosé de whisky et de gros mensonges.

Un excellent roman très psychologique, guidé par la voix d’Allison, qui voit s’écrouler sa vie un petit peu tout les jours, enfin beaucoup tout le temps. Entre les mensonges de son mari et de ses amis, la situation intenable qui se répercute sur ses enfants, un vieil amour qui ressurgit, une confrontation qu’elle n’a jamais eu avec sa mère, tout ça pourrait parait brouillon mais pas du tout c’est un tableau maitrisé de bout en bout, avec un suspens crescendo. J’admire la maitrise de l’autrice, les derniers chapitres étant des chefs d’oeuvre de dénouement.

Pour les amateurs de super romans psychologiques bien surprenants: foncez!
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Personne ne doit savoir

Ali vit avec Micke et leur deux enfants dans une somptueuse maison. La vie leur a sourit, ils ont réussi !

Ali décide de faire une fête en petit comité avec leurs anciens camarades.

Mais lors de cette fête, un drame ce produit, Karen prétend que Micke l'a violé !

Des lors la vie de tous vire au cauchemar !



J'ai apprécié ce roman, ou mensonges, secrets, trahisons sont en pleine puissance !

Chacun des protagonistes à ses petits secrets, tout le long on ce demandé si c'est vraiment Micke. Les indices, les révélations arrivent pas à pas.

La tristesse aussi ce dégage de ce livre, de voir toutes ses vies brisées.

L'écriture est fluide, l'immersion est aisée.

Petit bémol tout de même j'ai eu du mal avec certains personnages, mais cela ne m'a pas empêché de passer un bon moment.
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Personne ne doit savoir

{LECTURE 2023-110} Personne ne doit savoir de Claire McGowan chez Hauteville.



Alison, à tout ce dont elle a rêvé. Une magnifique maison dans le Kent, un job public et social, 2 enfants et Mike. Réunion de leur groupe d'étudiant après 20 ans, un drame qui touche Karen sa meilleur amie. La descente aux enfers...



Et bien, j'avais vraiment très envie de découvrir ce thriller au vue des avis et de son résumé... Sauf que...



Oui, sauf que...

Certes, on ne s'ennuie pas, certes on a très envie de savoir le fin mot, envie de savoir qui a agressé Karen chez Alison. Alors oui l'écriture est assez sympa. Le suspense est maintenu jusqu'au bout. Ça se lit assez vite. Les thèmes abordés sont actuels et il est important d'en parler...



Sauf que j'ai pas vraiment kiffé ma lecture, par certains peu crédible. J'ai déteste Alison sans doute parce qu'elle renie ses convictions profondes. De plus, cette amitié est assez bancale quand on ne s'est pas vu durant 20 ans, que s'accumulent non-dits et mensonges. Aucun attachement aux personnages, peu de ressentis.



Bref, j'ai passé un moment sympa avec cette lecture, j'ai lu énormément d'avis positif mais pour moi ça ne la pas fait..



Et toi, tu l'as lu?



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Personne ne doit savoir

❤Une petite pépite ❤



Belle découverte de ce thriller que l'on a vu circuler sur les réseaux sociaux. Après tout les bons avis que j'avais entendu et lu, je ne pouvais que me lancer ☺



C'est une excellente lecture pour ma part. L'histoire est bien mené du début à la fin on soupçonne certains personnages, puis finalement on les retire de la liste des suspects. Et quand arrive le final c'est juste explosif. Les pages se tournent toutes seules. On ne voit pas le temps passer.



L'histoire est véritablement addictive, une fois commencé il m'était presque impossible de le poser.



On revient dans le passé de chacun des amis afin de comprendre là où ils en sont et pourquoi. Ce qui aurait pu être pénible, mais tellement bien écris que ça ne m'a pas dérangé.



Je vous conseille fortement cette lecture qui est sans prise de tête et fait passer un super moment ☺
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Personne ne doit savoir

Il m'a fallu du temps pour me plonger dans l'histoire...Ceci étant dit, après quelques chapitres, me voilà prise dans le récit et les pages se tournent toutes seules. L'intrigue est bonne si bien que je me suis prise au jeu.

Je le recommande donc à toute personne appréciant les romans à suspense!
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Personne ne doit savoir

Un très bon cru que ce thriller domestique d'une auteur que je n'avais encore jamais lue. Alison mène une vie de rêve, un mari attentionné exerçant une belle situation, deux beaux enfants, une maison de rêve, bref tout ce que l'on peut rêver. Alison se met en tête d'inviter pour un week-end de retrouvailles sa bande d'amis qu'elle connait depuis plus de vingt ans mais qu'elle n'a pas revus depuis très longtemps. Mais voilà le week-end tourne au cauchemar et les masques tombent. Je n'en dis pas plus car je n'aime pas éventer plus que ce qu'il ne faut les événements qui se déroulent dans un thriller domestique. Mais futurs lecteurs sachez que l'auteur avec une maîtrise parfaite du suspense nous mène par le bout du nez. On replonge dans le passé de tous les personnages. Que s'est-il passé il y a vingt ans ? Qu'ont-ils fait de leur vie ces cinq amis qui pour certains ne se sont pas revus depuis des lustres ? Bref un excellent moment de lecture pour qui aime le genre.
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Personne ne doit savoir

Nous suivons un groupe d’amis de fac qui se retrouve après 25 ans sans s’être vus. Ali décide de tous les réunir chez elle pour un repas et une petit soirée comme au bon vieux temps, mais rien ne se passera comme prévu.

Au milieu de la nuit, tout le monde est éméchés et les 3/4 dorment déjà, Ali est réveillé par un bruit, elle se lève et descend dans sa cuisine et elle découvre sa meilleure amie Karen dans un état pitoyable et qui accuse son mari, Mike, de l’avoir agressée et violée.

Ali n’en croit rien, elle sait qu’elle s’est marié avec quelqu’un qui ne ferai jamais ça ! Donc elle se met à enquêter. Mais ce qu’elle va découvrir dépasse toutes ses certitudes et sa vie va voler en éclats…



Alors, au début j’ai été embarqué dans l’histoire de suite. J’ai aimé l’ambiance, les personnages, l’histoire etc mais plus les pages défilées et plus l’histoire prenait en longueurs, tournait en rond. Pendant presque 150 pages, voir plus, on n’apprend rien, on tourne autour de l’histoire principal sans jamais parvenir à un petit quelque chose qui ferai avancer l’histoire, qui ferai que l’enquête d’Ali aboutisse à quelques chose de concret.



J’avais l’impression que l’autrice cherchait à gagner quelques pages en plus. Parce quand dans plusieurs chapitres on répète ce que l’on sait déjà au lieu d’avancer, c’est un peu rageant je trouve et ça perd tout son dynamisme. Je me suis retrouvée a plus avoir envie de lire, a m’ennuyer même.. juste j’avais envie de savoir le fin mot de l’histoire mais tourner autour du pot durant des pages et des pages, je n’en pouvait plus..

Du coup arrivé au 3/4 du livre, j’ai sauté les chapitres pour ne lire que le dénouement et savoir ENFIN la vérité de ce qu’il s’est passé ce fameux soir où Karen c’est faite violée ! Et j’ai su.. et au final, rien de surprenant, comme le livre en lui même malheureusement.



Donc du début à la fin ça n’a pas marché pour moi et pourtant j’ai vu énormément d’avis positifs alors n’hésitez pas quand même à faire votre propre avis !
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Personne ne doit savoir

Sous prétexte d’une soirée retrouvailles pour des copains de fac, Alison reçoit chez elle. Des copains, qui, pour la plupart, ne se sont pas revus depuis une 20aine d’années. Mais la soirée ne se déroule pas comme prévu. En effet, la meilleure amie d’Alison sera violée. Et le coupable : le mari d’Alison. C’est la consternation. Arrestation. Pleurs. Stigmates. Mais cette histoire cache bien d’autres choses. Elle permettra également de faire la lumière sur un événement tragique qui s’est déroulé au moment de la fac. L’histoire est rondement menée. C’est captivant, et addictif. Petit bémol cependant, le personnage d’Alison m’a un peu énervée. Naïve. Mais sinon, ça se laisse lire tout seul. Un bon moment de lecture.
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Personne ne doit savoir

Personne ne doit savoir, de Claire Mac Gowan



14.09.2023 🤫Page turner haletant 🤫



L'histoire:

Plus de 20 ans qu'Alison, son mari Mike et leurs amis d'Oxford ne se sont pas tous retrouvés.

Ce week-end entre amis s'annonce des plus agréables.

Mais lorsque Karen, la meilleure amie d'Alison, entre dans la maison en pleine nuit en hurlant "Il m'a violée !", le week-end vire au cauchemar.

Et quand elle affirme que Mike est le violeur, c'est le monde d'Alison qui s'écroule.

Mais quand il s'agit de découvrir ce qu'il s'est vraiment passé, Alison n'est pas au bout de ses peines. Entre mensonges et faux-semblants, Alison connaît-elle si bien son entourage ?



Mon avis:

À votre avis, est-ce que le fait d'avoir littéralement dévoré le livre en 24 heures fait de ce dernier un page turner ?

C'est un grand OUI !



J'ai été séduite par ce livre quand il a croisé sa route et je n'en suis pas déçue.



Je me suis laissée complètement absorber par l'histoire, ce groupe d'amis de prime abord sympathique, mais qui nous cache quelques petits secrets. Mais je ne m'attendais pas à vivre une telle avalanche de secrets enfouis !



Le personnage principal, Alison, mère de famille bien sous tout rapport, m'a fait de la peine, elle vit là une véritable descente aux enfers, à tel point que je me suis prise de sympathie pour elle au fil des pages. Même s'il faut l'admettre, au début, elle m'agaçait.



L'auteure réussit clairement à nous tenir en haleine tout au long du livre, en distillant à petite dose de subtils retours dans le passé et en variant les narrateurs.



Et petit à petit, le puzzle prend forme, jusqu'au coup de maître final.



Bref, un thriller qui m'a clairement tenue en haleine jusqu'à l'épilogue et comme il fait du bien d'en lire !!



Je vous le recommande vivement !!
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Personne ne doit savoir



Une réunion d’anciens camarades d’université tourne au drame quand Karen accuse le mari d’Alison de l’avoir violée. Celle-ci tombe des nues… Son compagnon depuis des années est-il vraiment ce genre d’homme? Elle l’aurait su, quand même, elle qui fait partie du conseil d’administration d’un refuge pour femmes victimes de violences domestiques! Pourtant, Mike semble avoir de nombreux secrets, et ceux-ci remontent lentement à la surface à mesure que l’enquête progresse…



Je ne sais plus comment ce livre a atterri sur ma wishlist (le ou la coupable lit certainement ce texte en ce moment-même) mais j’ai été franchement bien inspirée. J’ai été immédiatement happée par cette intrigue qui commence à la page 1 (enfin la page 7 parce que les romans ne commencent jamais à la page une) et qui ne m’a laissée aucun répit! On bondit de révélation en fausse piste dans un rythme trépident. Ce n’est pas que la fin soit incroyablement surprenante mais l’autrice maintient quand même fort habilement le suspense et nous garde en haleine jusqu’aux dernières pages…



J’ai beaucoup aimé les personnages même si on est sur des grands classiques du polar domestique, entre bourgeoises désœuvrées et maris surmenés. J’ai adoré être dans la tête d’Alison, l’héroïne, avec ses côtés pas nets du tout mais tellement compréhensibles. Ras la casquette des mères courages et des protagonistes badass lisses à faire peur!



Alors oui je sais, on n’est pas sur du méga-innovant mais ça a méchamment cliqué entre moi et « Personne ne doit savoir ». Parfois, ça ne s’explique pas!
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Personne ne doit savoir

J'ai choisi ce livre pour un challenge lecture et il fallait lire un livre d'un auteur qu'on ne connaissait pas.



J'ai choisi ce livre car déjà la couverture m'a plu.

Bon l'histoire est bien mais je trouve quelques lenteurs par moment. Alison m'a parfois un peu exaspérée.
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Personne ne doit savoir

Un roman à suspense de temps en temps, ça détend vraiment ! Et c'est tout à fait ce dont j'avais besoin pour l'instant...



Je n'achète pas souvent ce genre de bouquin mais le résumé de l'éditeur m'a vraiment tentée :

"Alison organise une réunion d’anciens camarades d’Oxford pour fêter une amitié longue d’un quart de siècle. Entre-temps, elle s’est mariée avec Mike, avocat d’affaires, dont elle a eu deux enfants. Elle vit dans la maison de ses rêves dans le Kent. Elle a réussi sa vie, et elle a bien l’intention d’en faire la démonstration lors de ces retrouvailles.

Mais la fête vire au drame lorsque Karen, la meilleure amie d’Alison, fait irruption dans la maison, en état de choc. Elle affirme que le mari d’Alison l’a violée. Mike jure qu’il est innocent. À qui se fier ? Ce douloureux épisode fait resurgir les plus sombres souvenirs de leurs années de fac. Et certains sont prêts à tuer pour que ces souvenirs restent des secrets bien gardés."



Des thèmes intéressants comme la question du consentement, la difficulté de jugement dans les cas de viols, l'amitié, l'amour, toutes ces relations si complexes parfois.



Des secrets passés et présents dévoilés petit à petit, suite à un drame survenu pendant une réunion d’anciens camarades de fac.



Des chapitres courts avec une alternance de points de vue de différents personnages - les adultes et les enfants - , mais aussi d'époque - avec des flashbacks en 1996 durant leurs études à la fac.



Des hypothèses, des certitudes et des doutes, des souvenirs, des découvertes,...



Tout cela donne du rythme au récit, et rend ce roman particulièrement addictif et prenant, en invitant chacun à essayer de deviner le cours des événements - que ce soit ceux de la nuit du bal de promo en 1996 ou ceux de cette nuit de retrouvailles.



C'est le premier livre de Claire McGowan que je lis et j'avoue que j'ai passé un bon moment de lecture, même si je ne me suis pas vraiment attachée aux personnages, aucun d'entre eux n'ayant réellement réussi à m'émouvoir. Il se lit très rapidement car on a envie d'obtenir les réponses à nos questions, et en même temps, il s'oubliera certainement aussi vite.



En bref, si j'ai trouvé que l'intrigue était bien menée et réservait bien des surprises, je suis restée un peu sur ma faim concernant la psychologie et les émotions des personnages. 

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Personne ne doit savoir

Mariée à Mike, un avocat d’affaires, Ali s’occupe de femmes abusées, de manière bénévole, tout en gérant la maison et les enfants. Ayant déménagé à la campagne, elle a invité ses anciens camarades d’Oxford, que Mike et elle avaient perdu de vue, certains depuis plusieurs années. Le week-end de fête semble débuter sous les meilleurs auspices, jusqu’au moment où Karen débarque en sang dans la cuisine : elle a été violée !!! Et le coupable qu’elle désigne est … Mike, qui nie absolument les faits… Dès lors, Ali plonge dans le doute : que s’est-il réellement passé ? Qui ment, qui dit la vérité ???



J’avoue m’être parfois un peu ennuyée à la lecture de ce roman : le rythme est un peu trop lent à mon goût, malgré le découpage en courts chapitres, et les flashbacks à l’époque de l’université m’ont parfois un peu perdue. De plus, j’ai très vite pressenti ce qui s’était produit. Néanmoins, les questions que l’auteure soulève sont vraiment intéressantes : celle de la résistance de l’amour, ou de l’amitié face à des drames tels que celui évoqué, celle du mensonge et des faux-semblants derrière des façades bien sous tous rapports, celle du dilemme d’Ali, confrontée à la culpabilité de son mari alors qu’elle est connue pour être une féministe défendant les femmes violées, celle du viol aussi, et du ressenti de chacun face à cela… Ce qui amène à réfléchir.

Donc un point de vue mitigé sur cette lecture…

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Personne ne doit savoir



Qu’elle plaisir de découvrir la plume de Claire McGowan.

La couverture de ce roman m’a intriguée dès l’instant où je suis tombée dessus. Le Synopsis à fini de me convaincre…



Nous suivons la douce et bien trop naïve Alison et sa petite bande d’amis de toujours… Ou plutôt depuis 25ans.

D’une soirée de retrouvailles qui se devait être joyeuse, la fête se termine en cauchemar. Brisant amitié, confiance et vie de famille.



Karen, meilleure amie d’Alison, accuse Mike, le mari de cette dernière de l’avoir violée…



L’intrigue est posée. Qui Alison, militante pour les droits des femmes, soutiendra t-elle ?

Voyant sa vie parfaite

détruite en l’espace d’un instant, sera t-elle assez forte pour approfondir la vérité ?



Entre souvenirs et révélations, secrets et mensonges, ce thriller nous emmène là où tout n’est qu’apparence et semblant de perfection.

Le thème du viol est abordé avec soin. Nous aidant à comprendre comment une victime peut-être malheureusement jugée à tort, juste à cause de son passé ou de son comportement vis a vis de la gente masculine.



Une lecture addictive. Des personnages attachants quand d’autres se montre détestables. Un final à la hauteur de ce roman. Ce page turner est un véritable coup de cœur.
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Personne ne doit savoir

Plus que l’intrigue en elle-même, j’ai aimé les interrogations sociétales abordées par le récit. C’est pour moi le point fort du roman. L’aspect découverte de l’identité du criminel est également bien mené car on doute tout au long de notre lecture de la culpabilité ou de l’innocence du présumé coupable.



Pour recontextualiser, notre personnage principale, Alison, par ailleurs engagée dans la lutte des violences faites aux femmes, voit son mari accusé de viol par sa meilleure amie. Et là, elle se rend compte que c’est plus compliqué qu’il n’y paraît d’appliquer les conseils plein de bon sens qu’elle a l’habitude de prodiguer aux femmes victimes de violence ou à leurs proches. A savoir ne pas douter des affirmations de la victime, ne pas remettre en cause son témoignage et ne pas chercher à pointer des « fautes » de la part de la femme (elle était bourrée, elle avait allumé un de leur pote toute la soirée, elle était court vêtue). L’autrice nous met dans une position compliquée car la victime n’est pas dépeinte comme parfaite, elle a même des comportements que la société juge comme immoraux. Bref, autant d’éléments qui poussent notre personnage à faire tout le contraire de ce qu’elle préconisait lorsqu’elle n’était pas touchée de près par les affaires. Ici, c’est son mari qui est accusé et elle a du mal à croire qu’il ait pu commettre ce viol. Du coup, comme mécanisme de défense, elle va faire ce que, malheureusement, une grande partie de la société fait dans ces cas là : rejeter la faute sur la victime (cf arguments listés plus haut). Mais tout en gardant une part de culpabilité car elle a bien conscience qu’elle tombe dans les travers qu’elle dénonce en temps normal.



Je trouve donc que ce roman parvient parfaitement à rendre compte de l’hypocrisie, mais aussi de la difficulté, de l’être humain à faire face à ce genre de situation. Car ici on nous montre que même une femme sensibilisée à la cause peut faire des choix considérés comme mauvais . Et pourtant, on ne parvient pas à détester cette femme car elle se rend compte elle-même de sa faiblesse et essaie quand même de se battre contre ses biais.



Petit bémol cependant :

Bref, même si le mystère autour du coupable est réussi, ce roman vaut le coup d’être lu pour cette réflexion autour de la réception médiatique et personnelle d’un crime sexuel. Personne n’est infaillible et personne ne peut connaître sa réaction du moment que l’on n’a pas vécu la situation dans laquelle un intime a été accusé du pire. A l’heure où les réseaux sociaux se transforment en tribunaux, il est important de le comprendre.
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