Personne ne peut séparer la poésie de la violence. Elles sont les deux facettes d'un élan qui pousse à vivre et qu'il serait criminel de vouloir détruire. Les vrais fous, ce sont peut-être les esprits vertueux, comme ma mère. Ils effacent la vie, aveuglés par leur désir de ressembler aux anges.