Il s’assied en équilibre sur mon poste de travail sans me quitter des yeux. J’essaie d’avoir l’air le plus décontracté possible, comme si j’avais l’habitude que des garçons beaux comme des dieux m’abordent aussi spontanément. Mais mes mains tremblent et mon cœur cogne si fort que j’ai peur que ça se voie comme un frémissement sur ma veste.