Surtout, tu adorais baigner dans le climat singulier des troquets, dans leur intimité tantôt calme, tantôt chargée d'électricité, toujours pleine de chaleur humaine, la seule valable à tes yeux.Tu pouvais discuter avec le dernier des pochards comme avec le pape, en lui accordant la même considération, pourvu que ce fût au comptoir (...)Avec toi, on ne buvait pas pour boire, on buvait pour vivre.
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