Table ronde littéraire animée par Suzanne Ferland au CTB-TV. Auteurs invités: Claude Daigneault, Manon Leblanc et Jean-Pierre Girard.
Une perruche égarée du nom de Pippy s’était perchée dans un arbre à Londres. En voyant venir une dame, l’oiseau lui a crié sur un ton menaçant : « Je suis Pippy. J’habite au numéro 7, Strawberry Close à Nailsea. Compris? » Le propriétaire de l’oiseau, averti par lettre, appela l’aimable femme au téléphone. Il avait la même voix que sa perruche.
Les graines de cannabis non utilisables (c’est-à-dire stériles) sont utilisées dans la fabrication de nourriture pour les oiseaux. Selon un représentant du bureau des drogues dangereuses du ministère canadien de la Santé, « il semble que leur chant soit plus mélodieux quand on en ajoute à leur nourriture ».
La foi n’est pas un barrage contre les assauts de l’angoisse, mon cher Michel. Mais lorsque je considère les 850 millions d’années d’évolution qui ont précédé le perfectionnement de l’être humain, je me dis qu’il y a un sens à tout cela. Tout simplement parce qu’il y a eu tellement de génies qui ont fait progresser l’humanité. C’est la même chose pour chacun de nous. Chaque vie a un sens…
La revue britannique The New Scientist a publié plusieurs lettres de lecteurs qui affirment avoir vu des pigeons de Londres prendre le métro. Les volatiles solitaires semblaient très bien savoir leur destination. Ils montaient dans un wagon, attendaient patiemment que la rame de métro s’arrête à la station suivante et s’envolaient dès l’ouverture des portes.
L’argent… Toujours le même problème dans sa vie. Il faudrait en trouver avant de se lancer dans une telle aventure électorale où une caisse occulte serait indispensable.
Et dire que la Solange avait de l’argent à ne pas savoir qu’en faire à la suite d’un procès gagné haut la main. D’accord, l’accident d’auto l’avait rendue handicapée pour le reste de ses jours… Mais, mieux vaut vivre riche et handicapée que… que… pauvre et handicapée se dit-elle, faute de trouver un proverbe plus juste.
On peut oublier son passé, mais on ne peut oublier son avenir. Et cet avenir, pour moi, c’était ma fille unique. On peut ne plus tenir aux gens qu’on a connus dans le passé, les oublier parce qu’on ne les revoit plus. Mais on ne peut oublier son enfant. Parce qu’il représente notre propre survie, notre raison d’être.
Aucune loi n’est parfaite. Il y a toujours moyen de la contourner un peu…
Elle connaissait trop bien son esprit manipulateur, son besoin d’enquiquiner ses proches, de se plaindre, d’essayer par tous les moyens d’instiller le remords dans leur cœur.
Enfin! On lui faisait miroiter pour de vrai une haute fonction au cabinet. Il n’avait pas chauffé en vain de son fessier imposant les banquettes arrière.