Une perruche égarée du nom de Pippy s’était perchée dans un arbre à Londres. En voyant venir une dame, l’oiseau lui a crié sur un ton menaçant : « Je suis Pippy. J’habite au numéro 7, Strawberry Close à Nailsea. Compris? » Le propriétaire de l’oiseau, averti par lettre, appela l’aimable femme au téléphone. Il avait la même voix que sa perruche.
Les graines de cannabis non utilisables (c’est-à-dire stériles) sont utilisées dans la fabrication de nourriture pour les oiseaux. Selon un représentant du bureau des drogues dangereuses du ministère canadien de la Santé, « il semble que leur chant soit plus mélodieux quand on en ajoute à leur nourriture ».
La revue britannique The New Scientist a publié plusieurs lettres de lecteurs qui affirment avoir vu des pigeons de Londres prendre le métro. Les volatiles solitaires semblaient très bien savoir leur destination. Ils montaient dans un wagon, attendaient patiemment que la rame de métro s’arrête à la station suivante et s’envolaient dès l’ouverture des portes.
Table ronde littéraire animée par Suzanne Ferland au CTB-TV. Auteurs invités: Claude Daigneault, Manon Leblanc et Jean-Pierre Girard.