Claude Plumail

L’armée, ça obéit et ça ferme sa gueule.

- je suis très honoré que le Grand Conducator ait fait le déplacement pour nous accueillir.
« Grand Con suffisait amplement »
- l’amitié de la France nous est précieuse.
« en vérité, je m’en tamponne, je fais cela pour ennuyer l’URSS et avoir des prêts des banques occidentales »

La libération de Paris est une question primordiale. Nous ne pouvons pas la laisser aux Alliés, aussi j’ai pris la décision de me rendre en France.
Si l’insurrection est lancée trop tôt, les allemands l’écraseront dans le sang.
Oui, mais si elle tarde, les américains entreront en libérateurs dans la capitale. Nous devons éviter cela aussi.

Croyez-vous que les États-Unis et l’URSS resteront longtemps en dehors du conflit ? Je vous le dis : la guerre est déjà perdue pour l’Allemagne. Il nous faut donc travailler pour placer la France dans le camp des vainqueurs, l’arracher au camp de la trahison qui en ferait un pays déshonoré.

- la concentration de blindés, il n’y a que cela ! Ils nous contourneront et nous enfonceront si nous ne sommes pas capables de les enfoncer nous-mêmes.
- vous avez sans doute raison… mais un petit Colonel ne peut avoir raison seul contre le commandement tout entier.

Danse avec moi, embrasse-moi, prends-moi dans tes bras, même si cela ne dure qu'un instant...

L’ennemi était supérieur en nombre, mais ce n’est ni le nombre ni le courage qui font désormais les victoires. Seule compte la force mécanique.

Vous vous trompez, mon cher. Il n’y a ni victoire ni paix, ou seulement une paix d’épuisement, une sorte de vieille couverture jetée sur des ambitions non satisfaites, des colères nationales non éteintes et des haines plus vivaces que jamais.

Quelle tristesse de disposer d’un peu de liberté au prix de son renoncement.

- son devoir ? Que veut-il dire ?
- le devoir d’un prisonnier, c’est de s’évader, Mère.

J'aurais préféré qu'il me donne 500 chars plutôt que du galon.

Oh ! L'insolent ! C'est un fou ou un anarchiste !