Il apparaît donc que les murs ont de l'avenir. Le mur de Berlin, salué dans sa chute comme la fin des murs, constituait plutôt le début d'une génération nouvelle. Trop souvent comparés à lui, les murs qui aujourd'hui interdisent s'en distinguent pourtant en ceci que le premier empêchait de sortir alors que les seconds empêchent d'entrer. Ce n'est plus du tout la même chose.