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Citations de Colette Portelance (46)


Je ne vivais pas totalement ma vie parce que je dépensais une trop grande partie de mon énergie vitale à la contrôler. Je tenais la barre de mon bateau bien fermement pour rester seul maître à bord. Il m'a fallu un écueil important pour que je desserre les mains du gouvernail et que je commence à me laisser porter par la vague.
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Nous ne commençons à vivre que lorsque nous expérimentons ce que nous savons.
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Pour avancer dans la vie, il faut que vos deux pieds marchent dans la même direction. Il est nécessaire que vous sortiez du doute et que vous fassiez un choix ferme et assumé, sans quoi, vous reviendrez à la case départ au premier obstacle.
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Lorsqu’une personne se montre vulnérable et qu’elle vous révèle sa vérité intérieure, elle vous offre le cadeau précieux de sa confiance. Ne la trahissez pas en répétant ce qu’elle vous a confié. N’oubliez pas que, sans confiance, il est impossible de construire une relation saine, bénéfique et nourrissante.
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S’engager, c’est se faire confiance et faire confiance en les ressources du moment présent. Ces ressources nous permettront en temps voulu de franchir les obstacles quand ils se présenteront plutôt que de les fuir.
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Accepter, c’est nager dans le sens du courant de la vie, dire « oui » à ce qui nous arrive et composer AVEC plutôt que de nous acharner CONTRE. Accepter, c’est choisir la facilité et la paix, ce qui n’a rien à voir avec la paresse et la couardise. Accepter, c’est avancer AVEC la difficulté ou l’épreuve, qu’il s’agisse d’une maladie, d’une perte, d’un échec, d’un problème relationnel, d’une souffrance psychique ou d’une réaction impulsive que nous avons eue et qui nous rend honteux, voire coupable.
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L'acceptation n'empêche pas le changement. Elle le suscite. Toutefois, au lieu de changer la situation, c'est notre approche de la situation qui change.
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Lâcher-prise : un mot qu’on entend presque tous les jours ces temps-ci ; un mot passe-partout qui semble avoir l’effet magique de transformer l’impuissance en ouverture sur tous les possibles ; un mot qu’on prononce comme une promesse de libération et de soulagement de tous les maux.
« Lâche prise », me dit mon collègue qui me voit stressée.
« Lâche prise », me répète l’ami qui me sait angoissée.
« Lâche prise », me conseille l’inconnu qui me sent apeurée.
« Lâche prise », me rabâche la petite voix intérieure quand je suis irritée ou que je me sens nulle.
Lâcher prise. Quels mots abstraits ! Aussi abstraits que les expressions vie intérieure et guérison de l’âme.
Le mot « lâcher-prise » présente une promesse de soulagement de tous les maux. Facile à prononcer, il n’en reste pas moins difficile à intégrer à notre vie quotidienne surtout lorsque notre corps souffre et que notre cœur est blessé.
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Le mental n’est pas une faculté nuisible. Il est comme un enfant qui a besoin d’encadrement. Bien dirigé, il devient un instrument indispensable pour assurer la structure, l’ordre, l’organisation, la planification d’une journée ou pour favoriser la prise de conscience. Par contre, lorsqu’il s’ingère dans les domaines du cœur et de l’âme, il a besoin d’être guidé.
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La fuite est défensive parce qu’elle est suscitée par la peur. Quand on fuit, c’est pour s’éloigner de l’autre alors que quand on prend une distance, c’est pour se rapprocher de soi.
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Comme une grande partie des traces laissées en nous par ces expériences affectives n’a pas été conscientisée, nous sommes en quelque sorte, sur le plan affectif, une énigme pour nous-même. Une part de notre vie intérieure nous échappe. Ce jardin obscur renferme des secrets qui attendent que notre
conscient les mette en lumière.
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En effet, dans les moments difficiles de la vie, nous avons tous tendance à nous accrocher au monde du dehors auquel nous donnons le pouvoir ultime de nous rendre heureux parce que nous croyons qu'il est le seul lieu de résolution de tous nos problèmes. Même si nous pensons ne pas cultiver en nous cette croyance, il n'en reste pas moins que, dans la réalité, nous agissons comme si notre félicité dépendait davantage des attraits du dehors que des forces du dedans. La preuve en est que pour combler nos manques affectifs, pour masquer la tristesse de fond qui nous habite ou pour satisfaire nos besoins d'amour et de reconnaissance, nous versons constamment dans l'activisme. Nous avons le réflexe de faire toujours plus pour : avoir plus, savoir plus où paraître mieux.
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L'être humain n'est pas mu par des mots, ni par des idées, ni par des opinions, mais par les émotions qui les sous-tendent.
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En résumé, dans nos relations affectives, à cause de nos blessures, le déclencheur extérieur qu’est la personne aimée engendre en nous des émotions souffrantes, voire insupportables. Ce sont ces émotions qui sont les déclencheurs intérieurs de nos conflits relationnels parce que, lorsqu’on ne prend pas le temps de les accueillir et de les exprimer, elles se manifestent par des comportements défensifs instantanés qui blessent le déclencheur présent à son tour. Ce dernier étant également blessé, il peut réagir défensivement lui aussi. C’est justement la rencontre des réactions défensives des deux qui provoque, dans la plupart des cas, un conflit. Lorsque les comportements conflictuels se répètent, ils créent, entre les deux personnes impliquées, un système qui naît automatiquement chaque fois que des déclencheurs semblables réaniment leurs blessures passées.
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Quelles que soient les blessures qui vous affectent, c’est à vous de vous en servir pour vous détruire ou pour cultiver en vous et autour de vous un jardin de roses.
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Attribuer la cause des difficultés relationnelles de deux êtres humains à un seul des deux n’a jamais réglé leur problème de fond, puisqu’ils forment un
système dans lequel les deux sont obligatoirement concernés, quelles que soient les apparences.
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C’est par l’observation, un travail sur le terrain, une reconnaissance de mes erreurs poursuivie pendant plusieurs années, que j’en suis venue à avancer l’hypothèse que l’absence d’intérêt de certains étudiants pour l’apprentissage scolaire n’est pas due à un manque d’intelligence de leur part, mais à une école et à une société qui survalorisent un seul type d’intelligence au détriment des deux autres.
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Comme le manque de conscience de ce qui se passe en soi est souvent à l’origine de la dépendance et de l’asservissement.
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C’est un leurre de croire que l’on peut, du jour au lendemain, prendre sa vie en main si l’on a toujours été guidé ou mené par le monde extérieur. Devenir
autonome en ce cas est un apprentissage progressif qui doit se faire dans le respect du fonctionnement psychologique de la personne humaine et dans
le respect de son rythme de croissance.
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Vous constatez, par ce qui précède, que la blessure du cœur est beaucoup plus qu’un malaise ou qu’une émotion désagréable. Résultant d’un traumatisme vécu au cours de l’enfance, de l’adolescence, voire de la vie adulte, elle a brisé votre cœur. La marque qu’elle a laissée en vous influence aujourd’hui considérablement vos comportements et votre vie affective.
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Si l’une ou l’autre des personnes en relation exprime par ses paroles et son comportement le contraire de sa vérité profonde ou, par sa défensive inconsciente, déforme cette vérité, l’impact sur l’inconscient de l’autre risque d’avoir des conséquences néfastes à long terme par manque d’authenticité. Cette réalité présente toujours des répercussions plus ou moins graves en éducation.
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