[...] une Torah reposait sur un tabouret et une gravure sentimentale de la Madone était accrochée au mur. Le judaïsme de Clara s'était innocemment égaré du côté du christianisme, nourri par l'isolement de la Russie et par sa propre tendance à l'incontinence émotionnelle. Un calendrier des prières juives était affiché au-dessus du lit de Ioulia, à côté d'une image du Christ sur un âne.