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Critiques de Comtesse de Ségur (868)
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Après la pluie, le beau temps

bien aimé
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Après la pluie, le beau temps

C'est le dernier livre de la comtesse de Ségur que j'ai lu, et il fait parti de mes préférés avec François le Bossu et les Petites filles modèles. La moralité et la bonté étant les valeurs de référence de cette ouvrage.
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Après la pluie, le beau temps

Vraiment agréable à lire. C'est très bien écrit. Les personnages sont super attachants. L'histoire est prenante. C'est un livre à lire!
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Après la pluie, le beau temps

Je connaissais "Mémoire d'un âne et un bon petit diable" de la contesse de Ségur. ( j'appelais mon fils Cadichon quand il était plus jeune et qu'il ne voulait pas écoutér) A l"occasion d'un challenge qui consiste à lire des livres contenant le mot : beau ; j'ai eu l'idée de replonger dans son univers avec ce livre.

Nous sommes autour des années 1850/1870, les petits filles étaient modèles et bien élevés, nous retrouvons Geneviève, la vertu même, tyrannissait par son cousin George qui , à l'opposé, est la méchanceté incarnée. L'entourage de ces deux enfants vont s'en méler pour défendre la cousine orpheline de son méchant cousin, choyé par son père.

La bonté le remporte toujours sur le vilainerie, bien sûr! J'ai lu ce roman jeunesse avec le sourire, on est loin de l'éducation que l'on donne aujourd'hui à nos enfants, c'est à la fois dommage et vieillot, il y a certaines choses qui ne sont plus enseigné et c'est surement regrettable, n'oubliant pas les excés d'autorité.

C'est un roman jeunesse plein de bonne morale, ayant un forte influence autobiographique et pédagogique.

Je garde une préférence pour l'âne Cadichon pour avoir égayé mon enfance.
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Après la pluie, le beau temps

Voici le premier roman de la chère Comtesse que j'ai lu, je ne devais pas avoir beaucoup plus que 10 ans.



A cette époque, il est évident que je ne pouvais comparer la figure de l’héroïne, Geneviève, à aucune autre référence littéraire, mon bagage en la matière étant alors beaucoup trop mince. Depuis, il s'est légèrement étoffé et je ne peux, à relire cette oeuvre qui m'a émue et donné envie de dévorer le reste de l'oeuvre de Mlle Rostopchine, m'empêcher de rapprocher Geneviève de son aînée Jane Eyre.



Plusieurs d'entre vous diront légitimement et avec un brin d'exaspération : "mais pourquoi vouloir à toute force chercher des liens entre les oeuvres ? Laissons vivre les personnages pour ce qu'ils sont." Je plaide coupable, l'un de mes penchants est de me plaire à imaginer qu'un auteur, à l'instar d'un sculpteur, d'un peintre ou d'un compositeur, a subi l'influence constructive et enrichissante de ses confrères afin de pouvoir affiner un style bien à lui. Le talent est un don qu'il faut développer dès l'instant qu'il est découvert. L'inspiration, quelle prenne le doux visage poétique d'une Muse ou soit seulement la volonté de se hisser à la hauteur des Maîtres, est une pulsion intellectuelle noble dont aucun auteur n'a à rougir. Au contraire, selon moi, il pourrait la revendiquer avec fierté.



On peut être inspiré sans pour autant paraphraser.



C'est pourquoi, il me plaît de faire ce parallèle entre ses deux orphelines, soumises aux mêmes caprices de parents malveillants ; toutes deux restent chères à mon coeur de lectrice pour ce qui les rassemble et les différencie. Je conviens que ma supposition est totalement gratuite ; la Comtesse de Ségur (qui a publié le présent roman en 1871) n'a peut-être jamais eu entre les mains le livre de Charlotte Brontë (originellement publié en 1847 sous le pseudonyme de Currer Bell ; première édition française en 1854) mais l'inverse reste tout autant possible. Femme lettrée à une époque où peu de femmes écrivaient, est-ce tout à fait déraisonnable de penser qu'elle s'est intéressée à la prose de l'une de ses consœurs ?
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Après la pluie, le beau temps

Je ne sais pas pourquoi cet univers de la Comtesse de Ségur m'a tant séduite étant enfant, mais j'ai dévoré les romans de cette auteure et je me souviens encore du plaisir que j'ai eu à les lire.

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Après la pluie, le beau temps

Livre intéressant qui, lorsqu'ont est enfant, est idéal à lire engoncé dans un pyjama en flanelle et appuyé sur une énorme peluche par un temps de pluie.
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Après la pluie, le beau temps

Un livre très charmant, que j'ai lu il y a déjà quelques années maintenant .

j'en garde un très bon souvenir :)
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Après la pluie, le beau temps

Un livre de la comtesse de Ségur pas aussi connu que les malheurs de Sophie ou les petites filles modèles, mais tout aussi marqué de la morale XIXème siècle: le parcours exemplaire d'une orpheline recueillie par un oncle pas foncièrement méchant mais trop sévère avec elle et trop indulgent avec son propre fils, gâté et faisant toujours punir sa cousin pour ses bêtises à lui. Aidée par ses amis, sa grande et fantasque cousine Primerose, son serviteur noir, et éloignée de son environnement familial néfaste, elle deviendra une belle jeune fille; tandis que George, continuant sur la mauvaise pente, de méchant garçonnet, dilapidera son argent au jeu et prévoira d'abuser de la crédulité de sa cousine et de tuer son propre père pour se refaire...

Les jeunes premiers sont un peu fades, et on peut remarquer que les prénoms des garçons correspondent vraiment à des stéréotypes: Jacques est bon et courageux, Georges est le méchant (mais contrairement au Georges des Vacances, ne s'amendera jamais).

J'ai trouvé Mademoiselle Primerose beaucoup trop agitée, ainsi que Ramoramor, mais ils sont les seuls vrais appuis au quotidien de Geneviève, tandis que son oncle est un personnage un peu douloureux, dont on sent le tiraillement entre justice ( bien traiter sa nièce) et penchant naturel (gâter son fils), le penchant naturel ayant toujours tendance à reprendre le dessus... Ce qui rend le livre intéressant à lire autant pendant l'enfance, que lorsqu'on devient parent.

L'écriture de la comtesse de Ségur est toujours aussi fluide avec ses successions de dialogues qui nous plongent directement en témoin des scènes, comme au théâtre.
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Après la pluie, le beau temps

Après la pluie, le beau temps est le vingtième et dernier roman écrit par la Comtesse de Ségur. Je l’avais emprunté à la bibliothèque de l’école quand j’étais en CM2, et, si j’ai bonne mémoire, c’est l’avant-dernier livre de la Comtesse de Ségur que j’ai lu enfant. Je me souviens qu’il m’avait beaucoup plu et il était resté dans mon panthéon enfantin personnel.

Depuis quelques années, je me suis remise aux livres de la bonne comtesse, et je voulais relire celui-là. C’est chose faite, à la faveur d’une semaine de vacances et de farniente. Tout cela a bien vieilli, tant depuis la fin du XIXème siècle et sa morale chrétienne que depuis mes jeunes années.

C’est avec un peu de nostalgie que je me dis que la Comtesse risque de ne pas passer à la génération suivante. Je sais que ce n’est en tout cas pas moi qui mettrai ses livres entre les mains de M’ni Raton, tout cela est trop marqué par la religiosité et trop loin de ma propre philosophie. Et même maintenant, avec mes yeux d’adulte, je ne peux m’empêcher de voir ce que ces livres aux personnages trop blancs ou trop noirs ont d’insidieux. Finalement, il y a peu d’exemples de rédemption chez la Comtesse de Ségur : la grande majorité des enfants méchants au début restent méchants et connaissent des vies marquées par le malheur ou écourtées ; les enfants bons au début restent bons quelques soient les épreuves qu’ils traversent. Georges avait donc bien peu de chances de s’en sortir, et malgré sa couardise, dans cette seconde lecture, c’est peut-être lui qui m’a le plus émue. Et il a bien raison d’être incommodé par les remontrances habituelles de ses vertueux amis, comme la citation (à lire au second degré) que je mets en exergue de cette note de lecture.

Un bon souvenir de lecture enfantine, mais je préfère garder l’impression de cette première lecture et tenter d’effacer le filtre de ma lecture adulte bien plus critique face aux recettes usitées et usées que la Comtesse de Ségur utilise à nouveau dans cet ouvrage qui conclut son œuvre.
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Après la pluie, le beau temps

Ce n'a pas été ma première lecture, mais c'est celle qui "m'a fait tomber dans la marmite". 50 ans plus tard je me demande quel effet aurait cette lecture sur moi ?
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Après la pluie, le beau temps

J'adore
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Après la pluie, le beau temps

Je n'ai jamais lu un livre aussi bon que celui-ci jusqu'à maintenant! Vraiment bien écrit. Le titre a été très bien choisit et l'histoire n'est ni trop longue, ni trop courte. Tout de même, je crois que le livre aurait pu être un peu moins "funèstre" vers la fin de l'histoire... Je conseil ce roman à toutes les personnes qui sont moins passionnés de roman d'aventures et qui préfèrent les romans réalistes qui pour la plupart, reflètent une histoire vrai.
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Après la pluie, le beau temps

Ce roman fait partie de mes lectures d'enfance favorites même si j'avais préféré Les petites filles modèles...
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Après la pluie, le beau temps

Lu dans mon enfance après les malheurs de Sophie qui m'ont donné envie de lire les histoires de la Comtesse de Ségur. Transmis de génération en génération. Des contes initiatiques de l'époque de la Comtesse qui racontent les mésaventures et les tourments de l'enfance. Toujours d'actualité car la base de la psychologie humaine ne change pas. Les émotions et les sentiments demeurent et n'ont pas d'âge. Ils s'adaptent aux époques en choisissant d'autres formes d'expression. L'identification de l'enfant en souffrance aux petits personnages de la Comtesse est rapide.
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Après la pluie, le beau temps

Un livre de la comtesse de Ségur qui a baigné mon enfance comme ses autres romans d'ailleurs. Un peu désuet maintenant peut-être, mais tellement charmant !
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Après la pluie, le beau temps

Si j'avais adoré la trilogie des Malheurs de Sophie, ce roman me laisse un souvenir désespéré et malheureux.

Ce n'est qu'une suite de mésaventures, toutes pires les unes que les autres, agrémentées d'une bonne dose de racisme et de morale religieuse, mais tout est bien qui finit bien car Geneviève reste toujours gentille et pieuse.

Si la Comtesse de Ségur a écrit des classiques qui traversent les époques, Après la Pluie le Beau Temps n'en fait pas partie et a très mal vieilli au niveau des valeurs qu'il porte.
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Après la pluie, le beau temps

Il est toujours étrange de se replonger dans un livre d'enfance. Dans le cadre du Challenge Solidaire, la Comtesse de Ségur est au programme et je me suis longtemps questionnée sur celui que j'allais lire. J'en ai 4 à la maison, dont 3 dans un état assez usés car récupérés dans les livres d'une tante. Le 4e est un peu plus récent, mais bien abimé également car je l'ai lu un certain nombre de fois.



Finalement, mon choix s'est porté sur Après la pluie le beau temps, dont je ne gardais que de vagues souvenirs.



Que vous dire de ma lecture ? D'une certaine façon ces romans écrits au XIXe siècle ont plutôt mal vieilli. Même si pour ma part le côté moralisateur ne me pose pas trop de problème. En effet, il me semble important que des valeurs telles que l’honnêteté, le respect, la gentillesse, la droiture et la douceur puissent être enseignée aux enfants. Alors oui, tout est blanc ou noir ici, et l'ensemble manque de nuance.

La Comtesse de Ségur n'épargne pas les parents en montrant à quel point leur éducation peut influencer sur leur enfant. Ici c'est Georges qui fera les frais de l'éducation trop laxiste de son père.



Ce qui m'a finalement le plus mis mal à l'aise est le traitement réservé à Ramoramor, homme africain, dont le comportement et le langage rassemblent tous les stéréotypes propres à l'époque de la Comtesse.



Au vu du récent scandale autour du romans d'Agatha Christie, je me dis que celui-ci pourrait subir le même sort, car le mot nègre y est employé un certain nombre de fois.



A part cela, il y a tout de même de l'humour dans ce roman et le personnage de Mademoiselle Primerose qui n'hésite pas à dire sa façon de penser aux autres ne peut laisser indifférent (même si elle peut aussi agacer).



J'ai donc replongé en enfance pour quelques heures dans un roman ou tout est bien qui fini bien.
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Après la pluie, le beau temps

Une leçon de morale sur une grande période de vie pour ce roman.

Il débute lorsque Georges et Geneviève ont 12 et 8 ans et continue jusqu'à ce qu'ils aient 22 et 18 ans. Geneviève a été recueillie par son oncle, le père de Georges, à la mort de ses parents.

Une tranche de vie nécessaire pour que l'auteure démontre les méfaits du mensonge, de l'ingratitude, de la cupidité et l'irrespect envers ses proches.

C'est toujours une plongée avec la Comtesse dans une époque révolue, certes, avec des habitudes et des modes de pensée différents, mais on retrouve quand même des principes moraux éternels et le message transmis est on ne peut plus clair. La bonté, la gentillesse et l'honnêteté sont récompensés.

Un peu désuet mais un très bon moment de lecture.

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Après la pluie, le beau temps

Un décevant classique de la littérature jeunesse, lu pour répondre à un item du défi « Plumes féminines ».



C’est vraiment un livre démodé, raciste, que je ne transmettrai pas aux générations suivantes. On y fait connaissance du serviteur « nègre » Ramoramor, une vraie caricature, qui agit comme un enfant et parle sans phrases complètes, en déformant certains mots (par exemple « Moussu » pour monsieur).



L’histoire, c’est celle de Geneviève, orpheline qui vit chez son oncle et est aux prises avec les vilenies de son cousin Georges. C’est une jeune fille parfaite, sans une once de malice, tellement bonne qu’elle s’évanouit et fait une congestion cérébrale lorsqu’elle refuse d’identifier un voleur. Les femmes étaient bien fragiles dans le temps…



Si retourner la « bibliothèque rose » de l’enfance présente un certain charme, c’est aussi une grosse déception de relire avec des yeux d’adultes…

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