Les jours d’Heidelberg déferlèrent soudain avec toute la force de l’émotion que Werner suscitait en elle. Assise derrière sa caisse, Marie avait envie de se jeter sur lui, de le toucher, de voir ses yeux tout près des siens, de sentir sa discrète odeur d’eau de Cologne. Au lieu de cela, elle resta immobile.