Corinne Reignier

Le portrait d'iris de Corinne Reignier, publié chez Librinova en mai 2018 est un premier roman .

Que dirais-je de plus sur le thème de ce roman ? Devant la pléthore d'informations distillée par l'éditeur je ne vois pas quoi ajouter! .... Parfois trop rime avec trop ...

Laissez moi plutôt évoquer les différents décors plantés tour à tour . Le Connecticut, les Indes anglaises, Paris, la Baule, les années 1920/1930 , cette société financièrement aisée au sortir de la guerre se grisant de fêtes, de plaisirs, osant aller au bout de ses désirs, la femme qui a enfin pu sortir de son rôle de poupée de salon. Le microcosme décrit par Corinne Reignier est celui de cette société mondaine de l'entre deux-guerres , frivole et fortunée .Les personnages sont bien croqués, l'écriture est fluide et plaisante . J'ai passé un agréable moment en compagnie, d'Ava, Daniel , Richard et les autres. Comme tout premier roman celui-ci présente quelques faiblesses mais il laisse augurer un avenir prometteur.

Merci aux Editions Librinova via NetGalley pour cette découverte

#LePortraitD'iris #NetGalleyFrance

Le portrait d’Iris a une petite histoire qui en fait un roman spécial à mes yeux. J’ai un jour reçu un très gentil mail me proposant de recevoir ce roman. Le résumé m’a aussitôt fait penser à un Agatha Christie mâtiné de Kerry Greenwood (l’auteure de Miss Fisher enquête), ce qui avait tout pour me plaire. J’ai donc accepté et donné mon adresse postale à mon interlocuteur qui a été surpris de découvrir que j’habitais dans sa commune d’origine (de 4000 habitants, ce qui est plus rare que quand on habite Paris, vous en conviendrez). Et la coïncidence ne s’arrête pas là. Le portrait d’Iris se déroule à La Baule, une ville que je connais bien et dans laquelle j’allais justement passer quelques jours de vacances, ce que j’ai d’ailleurs raconté à Julien. Oui, mon interlocuteur n’était pas l’auteure. Et quelques jours plus tard, j’ai reçu un mail de Corinne Reignier me proposant une rencontre, qui a finalement eu lieu dans un salon de thé de Guérande (Le Céladon, pour ceux qui chercheraient un endroit où boire un excellent maté).



Corinne Reignier est un peu comme je l’avais imaginée : pétillante et chaleureuse. Un peu dans son monde aussi. Le portrait d’Iris est son premier roman et c’est elle qui a réalisé l’illustration sur la couverture, car elle est aussi artiste-peintre – d’ailleurs ses peintures m’étaient familières, j’ai déjà dû en voir dans le coin lors de l’un de mes précédents séjours baulois. Je n’ai pas été surprise de la découvrir fan des romans anglo-saxons, américains et australiens et nous nous sommes découvert de nombreux points communs littéraires.



Je n’aurais pas été étonnée de découvrir que Corinne Reignier était elle-même australienne ou britannique, car j’ai retrouvé l’ambiance des Miss Fisher enquête et des Miss Marple, avec une petite pointe de fantastique qui n’a pas été sans me rappeler les romans de Jenn Bennett (scènes érotiques en moins) : Les esprits amers et Les ombres sinistres. J’ai trouvé très plaisant de découvrir La Baule à la fin des années vingt, mais aussi de voyager aux Etats-Unis et en Inde. L’intrigue se tient, les personnages sont intéressants et mystérieux, comme Ava, sympathiques, comme Daniel, et j’ai vraiment eu l’impression de me retrouver dans un roman d’époque.



Et j’ai eu la chance de découvrir durant ces vacances l’exposition Lartigue à La Baule au musée Bernard Boesch du Pouliguen. Une rétrospective de l’oeuvre du photographe Jacques Henri Lartigue, montrant des notamment des vacanciers à la plage ou dans les rues de La Baule jusqu’en 1929. Cela m’a permis de donner plus de corps encore à ces personnages inventés par Corinne Reignier.



Le portrait d’Iris est un bien joli roman, à la plume délicate tout autant qu’incisive et l’histoire est une belle surprise, elle m’a fait voyager plus loin que le simple huis-clos auquel je m’attendais.
Lien : https://mademoisellemaeve.wo..

J’ai découvert la plume de Corinne Reignier dans le cadre d’un service presse concernant son roman intitulé Le Portrait d’Iris. Située dans les années 20, l’action démarre en Amérique puis se poursuit aux Indes avant de s’étendre en Europe. La narration se fait en fonction de temporalités différentes avec des retours en arrière qui vont ponctuer le récit présent. Cela m’a un peu déstabilisée au début si bien que j’ai du reprendre ma lecture en plusieurs fois. Néanmoins la qualité de la plume et de l’écriture me donnait envie d’en savoir plus malgré mes réticences face aux premiers chapitres.



En effet on comprends très vite que les trames du récit sont imbriquées entre elle et qu’il faudra les démêler une à une pour en comprendre tous les tenants et aboutissants. Néanmoins le mystère du début était un peu trop mystérieux à mon goût, j’ai mis un peu de temps à entrer dans l’action malgré un incipit in medias res à cause de ces pièces du puzzle manquantes. Passé ce trouble j’ai pu savourer ma lecture sans frustration à partir du chapitre 7 où nous avons enfin le cadre principal avec les personnages clés autour desquels l’auteure tisse sa toile.



Je reviens dessus mais j’insiste sur la qualité de la plume de l’auteure, le ton est soigné presque soutenu. Les phrases sont courtes, percutantes. Le récit est rythmé et malgré ma frustration des premières pages j’ai pu m’immerger ensuite totalement dans le récit et m’attacher à certains personnages. L’enquête et le drame qui se joue se dévoile progressivement, chaque personnage se révèle à des moments choisis, on se demande qui sera au final le « coupable ». Tour à tour on les soupçonne jusqu’à la chute.



J’ai apprécié découvrir le passé de chaque personnage qui ne sont pas manichéen mais décrit avec toute la complexité qui définit l’être humain et ses choix. Autour de l’art pictural les destins se croisent, fusionnent et s’étiolent jusqu’au dénouement fatidique. J’ai trouvé l’intrigue original et sortant des sentiers battus. C’est un roman qui surprends et qui interpelle son lecteur. Secrets et révélations sont au rendez-vous avec une petite pointe de fantastique autour du personnage central du roman. Personnage central qui pourtant n’est pas pointé directement mais pas des chemins détournés comme un secret que l’on souhaite préserver, ne pas montrer sa véritable importance dans l’intrigue dés le début pour mieux la valoriser et l’apprécier au fil du récit.



Je vous le conseille pour sa qualité d’écriture et pour son originalité. Merci à l’auteure pour cette lecture et sa confiance.
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Je remercie NetGalley et les Éditions Librinova de m'avoir permis de lire ce thriller qui ma a moitié plu car l'auteur na pas su donner le rythme a ses protagonistes .

Je n' ais pas trop aimé ce livre car le début est un embroglio,un mélange et on a du mal a s 'y retrouver. Dommage car se thriller aurait pu être très .

On a du mal a suivre cette histoire qui se passe une partie en France,une partie en Amérique et en Inde au début du siècle denier

C' est une histoire secrète d'une famille très aisée a cette époque. Dans ce thriller il va y avoir un meurtre et une famille qui va se déchirer.

Je n' aime pas trop ce thriller car l'auteur pas développer son roman.

J’ai été vraiment déçue.Je ne le recommande pas.
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