Le fascisme, ce sous-produit de la civilisation catholique, cet ultime avatar de la Contre-réforme, ne pouvait pénétrer dans l’Allemagne de Luther, de Kant, de Goethe, de Bismarck que par la frontière avec la Bavière. Ce n’est pas le dogmatisme de l’Eglise de Rome qui entre avec lui dans le Reich : mais le principe corruptif et dégénératif contenu dans les défauts de la mentalité catholique.