Après six heures de descente du canal lusien, je passais sous l'arche bienvenue et émergeai sur Joie, un monde fiévreux, surpeuplé, dont je ne savais presque rien et que je n'aurais pu identifier sans les fichiers de navigation du persoc. là je pus enfin dormir, le kayak caché dans un égout de cinq mètres de haut, moi enroulé sous des vrilles en fibre de plastique industriel prises dans un grillage.