Je veux dire qu'elle, elle avait peur. Son amour des montagnes russes, des fusillades et de toute cette agitation en quête d'une vie qui ait du sens ? Qui se soucie de ça, si ce n'est de peur qu'elle ne s'achève un jour ? Oh, je suis sûr que tu as tiré un certain réconfort au fil des années, de l'idée qu'elle n'avait pas peur, qu'elle était prête à affronter sa propre mort. Ça rendait la chose plus facile à avaler pour toi, pas vrai ? Si elle avait choisi ce qui était arrivé, si elle n'avait jamais voulu que cela se passe d'une autre manière ? Mais il y en a toujours. D'autres manières, d'autres choix. D'autres coutumes dans l'armoire, si tu préfères.