Autre pensée tournant en boucle : ces choses que je savais. Elles continuaient de fusionner avec les choses que je ne savais pas et d'en épouser la forme. Les faits éprouvés s'effilochaient, les hypothèses me concernant ne s'ancraient plus dans rien, et voguaient librement. Étais-je une bonne personne ? Me souciais-je seulement de la morale ? Que pouvait donc bien changer une seule personne, son amour ou sa mort ? Rien de tout cela ne compte. Rien de tout cela ne vaut la peine qu'on s'y accroche.