Et dans ta chute comme au moment de la mort, ton corps de plaisir et ton corps de souffrance tournent et virent ensemble, faisant éclater de grands soleils dans ton coeur battu. C'est ainsi que meurent les colibris, coeurs foufous qui éclatent d'une émotion trop grande pour leur petit corps. Et les hommes, qui n'ont jamais osé s'envoler n'ont plus qu'à courber la tête pour ramasser les débris d'étoiles filées.