Pour Gabriel, un tableau à moitié restauré n’était plus une œuvre d’art, juste un barbouillage d’huile et de pigments sur une toile ou un panneau de bois. Le cadavre d’Augustus Rolfe, gisant au pied du Raphaël, était un peu comme un tableau à moitié restauré : il ne retrouverait son intégrité que lorsque Gabriel saurait qui l’avait tué, et pourquoi.