Les livres étaient un refuge. Il lui arrivait de se demander pour combien de temps encore. Dans l'univers de Melville, en ce moment, il reprenait ses marques. Et des milliers d'autres livres pourraient encore pour un temps alimenter cette mise à distance. Non pour déserter le monde mais pour y retourner plus fort. On revenait plus solide au cœur de la tempête. Ils étaient une sorte d'oeil du cyclone.