Je ne pouvais plus penser à quoi que ce fût d’autre que ma décision fatale. J’étais devenu incapable de travailler, de me détendre, de lire, de regarder la télé, de parler avec n’importe qui de n’importe quoi pendant plus de quelques minutes sans que mon processus mental, tel le bras hanté d’un pick-up, revienne inexorablement suivre le sillon d’une gamberge futile autour de ma décision.